Merde Galilée.
r$ 14 •'Y*** ÂGE Â tr 11- BTA K'T'i .
qu'on p réten d , p an unef yeuy® Juives qul!é$
fit fâîre-afin que le s -Jn ifsq u i yétoiient alors»
en âflez grande quantité;.*. y dem.euralFent::
maisdiy a pins de trente anrque.les extordon s
& Jp tyrannie deslTurqs : le s e n omtêehaiTezÿ
deforte qu'il n y en apàs un au Jour d’huyi En?
tre^ cér murailles le bord de la, mer il.yi&L
y>lufieursijpalmiersv ETrcy; l'on sdaiiiënfâsfe
agrcableyhë furlaMer de Galilée > ad©Ié de
laquelle ©n yoit l'Arabie- Pierreufé ^ & .Tp»
y remarque adfément l’endroit on le. Jour?
dai>n feXèéeàar ge' dans;- nettedipfe|k$ 1 liv ifaSf
.. d)n dit qu’on diliinguë eneoré> p rçsd e le
Merde Galilée y les ruïnesde la. y d ie de Ga-
phar&qüm.oà»^iMattkkm q u itte fa Banque
pour-Cuivre- M ètre Seigneurvr Que ç .ait ©te
daâs ©esenvirons» q uelle a e té iîtu fe e^ tous;
bes Eyangeliftes le témoignent allez y 8e m404
eette Énéna^equi lui-ayroit^Ee faites n> aip.oint
été Vaine y É%-m Caftfamamn* qukà.s émkéMmpJi
fUâftÛid'fikfims dlmffeéjuffaemnjw » d JtaM fP »
ï-i. éàr elle. a. été teflement ruïnée^ qu’ii
pëinepeut^nreeônnottrelelieuoùelleétoit,.
Il e f l bon de remarquer| iey en paüànt y que
l'à ^ n d é lâ Mer de Galilée y ü q u io n a4 aulïi
donné les no ms d e Me r de T ib e r i as ôi de Lac
de Gënéz&reth y, ©fi douee r. fort , bon ne a bpî*r
iriey8t^tièSr f ^ l ^ Anéufev & on en Voit nager
une grande quantité fur le riyage- AntcëfbiS’
. |$ÉWpt*rmT t y § t * i E,y |M à ' q-2.y
î ï j av o itbeau coup de Péebeur&GliréBiêps
s y te u o ie n t, & qui g agnoient affezdien leur
yie « mais la Tyran n ie & l'avarice des Turcs
lès ^.contraints de le re tire ra ilL eu t sy de même
que les1, Juifsi ;.Et cè qu'il y a en e e la d'incommode^
c ’ell qu’o n ne fauroit f© faire p a f le ii
l’autre b o rd , ce qui fe fe ro it a-ifémenty s’il y
av o it de ces fortes de gens avec leursdarques*,
au lieu qu il faut prendre un g rmndtout en
faifant tout ce chemin par te r r e , cequi-mê*-'
me ne fe fait pas fans grand d an g e r; à eaufe
des Arabes qui dont , comme on Ta dit É de
grands yoleursT JJ
*; Ce fut fur cette Mer que J e fus- GhTiiî commanda
a Pierre; i& a> André de le fuivr e en*
leur promettant-que de pêcheurs de- pôiflond
qu ils é c to ie n c .il b s fer o it Pêcheurs d’hom-
nies y, Matth. 4. 19. Il appella de mêmedeux-
autres freres „ Jaq u e s & Jean d is deZebedcc,,
qui etoient occupez’ayecfeur-pere airaeeom-
mo der 1 eut s » dle t s y. Ce. idcucyédeo ne q ue Je--
fus-Chrilt nrar ch a fur 1 es eauxy quan d Pie r r e
lu i demanda d e jïo u y ë ir aller a l u i : , q u e -
erargnant'. d’ènfôncen d a n s d e e u , il s’écria^
Seigneur fituVes-moyj, M a tth t 14; -ycKi-v
Ge futa^Tiheri as que nous 1 foupdlnès* de c e
que-nous avions apporté aM*ee nous,- Mous-
Eous mlmes pour-cet edet a l ’ombre d'une;
vieille Md fu re^ ,^ nous n e palïimêsr p a r lai
-■ nuiî?