mN E g y p t e f Sy r i e 7 &t. %%ï
M û N'.'S I;® V R%80OA *
i f Après1 .vous àVoîr promis une Relation
« de mon Voyage de Tadmq#* i\e ne.fàu^.
p i W me dégager envers vous qu’en
'33 vous tenant mapêfmÈÊQùoÿ que je meri-
» taffe peut-être d’être bllâmepour lavoir: ern-
>1 ployé mon te ms & mon argent à rechercher
'33 des ieuriofîtez don til revient fipeii .de pro»
Si f i t f P j ’ ee que je crains devantâge>, d e qe
j , que je vous donné icy une defcription fi fim-*
pie d’une chofe fi curieufie > au lieu qu’une
>y përfonnfe plus éloquente St plus habile au-
|/¥ 6 it çà jnifc&rité %abc$jipi ihiéVsr-J
JjftS No us partîmes d’Alep 1 e j ouï derla? S .Mi-*
ehël 1 Gfii St nous -arrivâmes à Tadmor,
s, apres fix pqtitey journée^ de chemin * par un
iipàïs affèz defiert. Nous tenions toujours nô-
3> tre route auMidy* en tournant pourtant un
3T|pepjveis l’Ofient: En.entrant dans la Ville
&noiiS apperçûmes Un Château marque A.
j-y dans laTaille-dpiiep ; il eft éloigné de Tad-
iymor d’environ une demi-Üeuë* Sc tellement
Si bien pla.ce, qu’il commande en même-Tems,
j|&; le chemin des montagnes par lequel nous ,
iy entrâmes dans la Ville* & la fVille rnetne. .
il? Mais» no us rem arq vâme si -ai fié ni en t -qüeqe
33 n ’étôitpâs-ttn'hâtimeMfô'rt'iâ4Q i^ >in<Ryitoç
** aucune