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BOT A II KAI b. AHMÔG BAPÉÏXEIN
„, AMPICamÇoY TOT iAPIBwAEOerC | KÀÏ
„ MOKIMON TION ATTOT ÉtÇeBEIC KAI
„ SIAOIIATPIAAC TEÏMhC jSÀPlN . . . ;
,, Qnjie fauroit lire la date de cette Infcrijp-
j) tion a &c même on ne fait quel jugement on
99 doit faire de l ’Infcription enti.ere. Car il
j, paroît aflez étrange qu’on ait élevé une Co-
99 lomne à l’honneur de quelqu’un dont on y
J, mette le nom j fans dire lelujet qui Jui a
ij.faït mériter cet honneur, à moins que l’on
9, voulut fuppofer que ç’a été la coutume de
9, ces peuples d’Orient de faire ces vains éf-.
9, forts pour éternifer leur mémoire. On en
« v o it un exemple dans ce que l’Ecriture Sain-.
,, te rapporte d’Abfalom , %. Sam. 18. 18. &
J, peut-être aufli dans ce que fitSaül avant lui,
99 1. Sam. 15. ù . (a) Ou peut-êtrepôurroit-oh
„ conje&urer que cette Colomne auroit été
■ .,b dref-
(<*) Voicy ce qui eft rap- I qui regarde Saül,, il eft dit
in- feulement, Cum que de natte
JùrrexiJfet Samuel , utiret ad
Saül manè, nunctatum eft Sa-
mu'èli, eo quoi vinijfet Saül in
Çarmelum & crexiffèt fibi for-
nicem triumphalem. Je ne Yôis
pas que ces deux Paflages
prouvent rien pour l ’Auteur
de laDiÆertation.
pocgg. dans i ’Ecritïire Sain
.^te a cette occafion. Porro
jrfbfalom ercxeratjlbi 3 cum
adbuc viveret, titulum qui eft
in dalle, regis : dixerat enim ;
non habeojilium} &*. hoc erit
monimentum nominis niei. Vo-
tttv it que titulum nomine fuo 3
<0 * afpcllatur mantes A.bfalom,
yfque ad hanc diem. Pour ce
|j
E N E G Y P T E', S Y R I È J ' rjfag.
; 79 dre flee long-tems avant ce rems -là; à une
,, autre occafion , & puis; après employée à
>j<cec ufagep car je tierts'pour indubitable que
99 plufieur^ ites |n(cr|ptioy^ que' rÿdti#vîmes
9, x t oient bien plus non Viriles que1 le s Colo m-
.9, nés fur le {quelles elles étoiencgratéesvS hç
9, Quand nous eûmes paflç cet Obélifque
,9 d environ cènt p a snous vînmes à un beau
99 Portail fort large & fort haut, qui pour la
a, beauté de l ’ouvragé ne léèëdoit à aucun des
99 Monuments que je viens de décrire. Je fou-
ï> ^hakterois qu’ il n ’eut point eu le même fort
9^quéitourle reftë, notfs aurlons fans doûtdun
9-9 beau morceaù desââëiennésbeàütezdë ce t-»
9<,te ville. Ce Port a il donne l’ent rée dans une
ubelle allée de plus d'une démi-lièue de Ion g,'
9-,'pter 9 & de quarante.pieds de large | ellééfl:
9tenfermée de deufc rangs de Gelomnes de
ri marbre de vi n g t- fi x pièds dé haut-& de bute
„ ou neuf de tour. Il y en a-e n Core cent* vi n g t*
y, n e u £ d” en tie r s -, m aïs q u and on fuppute bien
,;,-ce qu ’il y en doit avoir e u , on trouve que
99*celava j ufqu’à cinq centsifoixante. fine re<
ÿy fte rien de la yo-ûte^ & il n’y a; rien à te rre
s^que -ce qui éfl: enfëyëli fouS leiféïnes î mais
ri'fut la plupart des Colomnés nous trouvât
hï é s dé s înfc r ip tî on s^Grê e ques 8è d ’aut res km
ri^làngùps.ipOonnuësv iqOii^^ymes;âfléz de
- Torp. U, E e e JM tems