4%4 v V o y a g e a u L e v à n y ; y .r
• „ M A A E N T P N K A I A rPÎ n H AN TOT 'c
P A AI ôV TPAMMATEÀ TENÔMENON TO ' '
„ A BTTfiPoW- EUl AH MI (À) 0EOT AAPlANOT- ;v
3 ,, AAIMMA n A P A c X O T A SENOIC TE KAI <
,,iioaeita(iç • • •. • * « m f â é m ^
„ Et un peu plus -bas on voyait ces lettres
j,, éparfes.
.Mr-:-v » H» f 9 *m ■ YmîPETHCA'MTA T*H T •. • » ^
S , CTPATETMA TOT— TIIO.... HKAI^.. TON
I NAON TON • • • • AIOC .... NT»T... .. ..
J ’aufois pênfé que KAI étoit uneconjon-
„,4fion yïèc qu'elle. lép aroi t l e mot Agrippa .qjui
L la fuit, du nom precedent -, mais les mots qui
„ fu i vent, au nombre lîngulier,ne permettent
„ pas cette confirmation. Ain/î i | faut que la
„ perfonne pour, qui l’on a fait cette .Inferi-
„ tion eût nom Malentus Coeagrippa , qui exer-i
„ çant. l’Office de Secrétaire, au quelque au-
m tr^ Charge fen^blable dans une expédia
tion. de l’Empereur Adrien ., eût fait une
„ adipn de grande utilité & de grande genq-:
„ rofité.:,-tant. a. l’cgard des Etrangers que des '
p Un. s te. |g Citoyens , ,ce qui elf .lignifié par ce mot
£?• „ AaIMMA ou iW^qui lignifie QnéHonvPeutd’une
per- ,, être leur -fit-iFuqe diftribution d’huile dou-
foane }) c e pour l’ufagedes, h^inSf. ,Cfeft dommage
d’exaétion, « de ce que la fuivante ell lî. d e fe& u çu fe&
j,, parti-
E.N EgYPÏÊ î| S Y R IE y (ëfo. 4 * 7
particulièrement de ce qu’on ne peut'pas & i ’avoi*
„ en trouver la date, car cela auroit pû nous dï^entdes
„ marquer preeifément le tems de cette ,ex- Provinces,
p pédition d’Adrien dans l’Orient;, ôû il rem- dVn-~
,, porta de grands avantages &c étendit 1 zp gutntarin.
„ bornes de l’Empire Romain. Pour ce qui 1 1 1 1 1 1 x tion qu’il regarde les Sepulchres des Palmyreniens avoir Com-
marquez E. dans la Taille-douce , i{s font “ ifecn'ce-
auflî beaux ôc aujdi curieux qu’il fe puiffq. avoi/été
„ Ce font des Tours quarrées hautes de qua- <*aaï,cei*i-
/ 1 /1 / 1 , ' cy une hbé- „ tre ou cinq étages,, qui iont clevees deç$ raüté ou un
„ deux >cô.tez d’un chemin creux qui ell au Prefentfait»
•j, Nord de la ville. Ils s’étendent en long l’ef- Province1
:„pace d’un mille-*'& il fe peut faire qu’ils fe au Gou.ver-
„ foient autrefois étendus bien plus loin. La de^jbeîque
„ première fois que nous lès vîmes , lorfque perfonne ri-
3,mous entrâmes dans ce lieu , nous ne pou^ |Jg qu^ ““
„ vions deviner ce que e’étoit. Quelques-uns A faudroit
„ penfoient que ce fût des Clochers de quel-
„ ques Eglifes ruinées , & ils eiperoientque tarittmeûU
„n o u s trouverions icy quelques marques du ?refenf mê-
Chriitianiime : d autres les prenoient poür çuvarinm
„ des b allions & pour une partie des ancien- °“
„ nés rortincations * mais on n y voit aucuns quelquefois
,, fondements des m ur aille s .N é an moin s, 1 o r T
; employé
chez IesRo
■ t m •m '•-s n B i BSMM *, /• vuez ie
„ que deux jours apres npusJies eûmes vin- mains.
,, tez avec plus d’Cxàélitude^ nous découvrî-
„ mes enfin quel avoir etc leur ufage. Ils
„ étoient tous d’une même forme , mais de
Tom. II, Gg g „ diver-