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éü lui coupa la tête; J ’y vis plufieurspeintu-'
tes ^ôtéotr’autres il y en avoit quelques-unes:
qui croient allez bien faites. :^
Je defïinay aufli icy un More A ra b e p o u r
foire voir l’Inftroment dontcesfortes de gens-
Joüent : ils ont entre les doigts un morceaiide
cu ir, àvee lequel ils raclent les cordes, d’une
maniéré aufïi peu ingénieufeque le fon en effc
defagréable àporeille.:
Ce qu’iby a-de plus remarquable dans cette
v ille ', ce font les Citernes qui y font en ff
grande quantité j • que::p3:elqijec.toa't«#fcvilleî
dîAteand^iéie{tfed^’Cblot»ne^furie£qnèèl'
les aulïï èH pofee la voûte qui lui fort de fondements.
Ces Citernes) font remplies par le
moyen d’un Canal qui ell hors de la Porte de
Rozette & qui environ à un quart de liëuë
de la ville reçoit fon eau du Kh&lits de Cléopâtre
qui la conduit là dans le tems du débordement
du N il. On ne boit point d’autre ean
u Alejtandrie-J,-ôt el’efb pouf eela que eesjjÇî^
ternes, qui ont communication avec ce Canal
par une. in vention fort Ipiri tuèlle i fon bd'Uiiè
grande nncelBté^'néèttè-iviillef.- ;
' Oh comptedî-x Portes à Alexandrie , mais il
at*y en a que trois qui fervent 5 J es trois autres-
font fermées;.
-Les trois Ports qui y font la rendent enV
icoreconfiderâblejmaisleprémietqu’onnoni^
Infiniment'
Arabe.
Quantité de
Citernes à
Alexandrie
»-
Pàrtesf,
Ports»