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te aux le long du chemin fur_le.fommet des
Udjme&L montagnes. De-là j ’allay à Infpruc^t~ou~ je
fus, vonr > dans l-EgMfe des Cordeliers , Jesc
v in g t Emperçurs ôç les huit.Impératrices qui:
y font »'beaucoup plus.^tand«■qnènatute, .-Ôç:
parfaitement bien faits*. L’on y, voir au 1E le:
Toit: 4&>r ne l hi üf grand ùlMs®vérité *,
nââià ipibèîEtLor: malÊfy.&L qu%n«e.ftime |i ’ila.
fort; gïand prix/: EM $Sft% edfeextrcntemen t
: l forte:, parce qu’elle eft Etuié entre plufîeurs
hautes montagnes qui;li*i fervent comme de.
mutailles./, &• qui la_ fout fcftimer imprènaf
hldi- Elle, pafle pbut: la plus forte Blaoùiqaè:
l? Empereur* ait dMns tous * fes* Etats. On paf?
Sirmits. fè apr çis cp la dey an t . la EortereiTe de Stirmitsy,
* (^Ui elli uni Edrt tfèlUcohfidèràbre S& foptj élè.—
v‘é î il eft :aù haut d:une montagne , &: .parade
IfonS.on: a r çreufé en terre quelques che-
■ mins Mâchez par ou l'on; peut faite des for«*
îÉâM. êtes/ Ee/ib.> je .vins à hîmîckç.aptraie: du .£)utché
.de Bavière ,. où je deméuray quelques
- jours , pendant lefqueis j ’altay voir ce qu’iL
. y, a de. p 1 ûsi,chnfid é r Mb 1er&* en tr au très le.
Palais jdeTE^âhur./ qui eiE d'une . ^Isf-helle
■ Dfc «Mù*
Amfbourg. n i eh 'j ’ ai l ay, Éf Jusbourg ÿ Vil 1 e t r es - agr é ab le^,
* Etuée dans une Plaine. Il y. a une t-rês^ belle.
Maîfon de. Ville., dont pluEeârs y.ôyagours ;
-i ont
vE'GYr>:-T<E y Sy -r f e , .grc. ■ 0 *
■mt àflez parié * pour m obliger a ne m’étjé
dre-pas beaucoup fur ce fujet. L’entrce de la
Porte eft d’une« ftru&ure toute particulière,
& faite ave,cun artfingulier. Elle conEfte en
divers Ponts & endiyerfesportes, quelques?
•unes defquellesfe ferment d’elles - mêmes
•lorfque l’on eft paffé, ou 'Cm a$:,n
; Enfuite jepaftay à. Donavyen , Vy^JJ^éowrg Donawert,
■fcc Svvaibag , ôt j ’arrivay le premier dé^No^ 'JjH Jy 1
vembre à Nuremberg ^ où je fus obligé de de> Swalbag.
meurer un mois entier ,. aÉ4 4 ^tf?§4rç quel7i >; w ,
qUes hardes qui me deyoient „venir de Vçni-
■ fe. Cette Ville eft raifonnablement grande, &
elle a .plufieurs ma.tfons forj/bieti bâtiOSW Elle
eft environnée de bons Remparts .fofit ha-uts^,
accompagnéode bonnes Tours ôc d’UÙ Fof-
fé fort profond,., Le Château eft fur une petite
Montagne,* qiii n’eft prefque qu’une Roche
v iv e .. , ..
Le premier de-Deeêmbrè j ’en repartis., &
leprils ma route par fslieftàd, Kit%ingert & JS'virts-
kourg, auprès iduquehpafte.le Mein. Je.le tra-
verfayile. même jour, & le 6 . j ’açrivay à Franp- Francfjrt.
«■ fort j’ où de fraid é.toit E v io len t que nous ne
p ùm e s p a fier 1 e Rhin , ce q u i nous o b lig ea,, •
deux :Meftieurs qui m’avoient jo in t en c h e - . ,
m in , ôt môy >ldB prendr6 un chariot
Mayence. ,Le 8| nous partîmes environ m idy, Mayence.
B b b b îj • &