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uneiétoilpübrillantç d,e Inu.it .rayons j étoit (L-
tuée en Mefcpotamie. Ce fut attx;-environs
de cette Villeuquecf’E.mpcreur,Gordien fai-
£ant la guerre aux Perlés fous Sapor leur Ifioy,
les'défit entieterppnt. $ur le ,revers?4>n y oit
ees tm m - k- aq fejgHÉfc w éÉ È
Sç avants j&ma-r que njt çpi*iI,doi t y avoir ,e a derrière
la .te te de la femme couronnée de Tp,urs:
d’autres lettrés,qui ayent précédé* & quide-
Toienti etfe-lfuësdevant aQ. qui n en? doit etre
que, la feeondé Syllabe,, pajve^enyde, du mo*
KOaONIÀ , aç ils rdrab'lifient;cettç£cxluire fur
une Semblable flexion d^ .rnotsr^ui fé; trouve
fu r d’au t.r es M é dai U es, f r a.p p£es a l P cçafion du
recpuÿreruent de Mifibe^|J$ifife&f-4s C E a *
£QaQ; £OECBH.- £JU' N
y voitîle trouye. fa rt -fouyent fur le s pièces d e
Monnaye des. Villes de S y rie , comme£ tant?
fi tuées au Soleil lev an t. , c e qukfe marquoit
.ordinairement jàtïous |ljtjfprme d une étoile,,
.fie d é lie r qu’on v o it icy fur fa té te d e la fem -
fe ^trouve fouyent me fu^ les Monnayes de
jSf ifibe , de même que fur celles d ’Antioche,
ce qui fignifioit, à ce ^ue l’on c ro it, que ce?
y i lies cpm m e n çPi en t f e ompter leu rs. années
lorfque le Soleil é toit au Signe du Belier,.
, Outre; ^M é d a ille s
div e rjfe s. petite s. pier r e s Jo r t dfe n gr ay e e s, &ç
en,tr’autres deux que f ay:juge .qui meritedepî
en Egy p t e ; Sy r i e ? ^ 4.65'
bien d’être reprefe n têes icy . On le s trouvera
marquées N 9, rs. &c h . elles font plus petites
que la plus petite figure qui eft icy ne les re^-
prefente i mais je les ay fait graver en plus
.grand volume , afin que le. Lè&eur en put
mieux diftinguer la gravure. Comme je ne
fçavois pas deviner ce qu’elles pouvoient
nous apprendre, j ’ay voulu confulter les Sça-
vants là-deifus, & Yoiey ce qu’un des plus di-
ftinguez en a jugé. Il dit donc que les lettres
qui font fur la petite pierre marquée N°.
11. ontairez de rappQrtdansleurcommencement
au mot CABE, qui fe trouve fur quelques
monnoyes d’Emilius fiepidus Triumvir^
'Sc que ce m o t, à le prendre en L atin , eût expliqué
par quelques - uns d’une y ille. d’Afrique
v quoy qu’il foit affez connu pourtant que,
c ’efl dans l’Efpagne Betique qu’il y a eu une
Ville de ce nom : mais parce qpe je refte de
rinfcriptioh eft en Grec, il femble qu’il foit
plus raifonnahle de prendre ce CÀBE pour du
Grec auffi , CABEIAN. Ces lettres qui font
un mot inconnu, environnent d’un côté deux
Cupidons qui ont leurs têtes appuyées l’un
contre l’autre comme s’ils ;fe difputoient à
qui aura la place, comme on avoit de coutu-
mede faire en quelques luttes. On trouve auifi
une pierre fur laquelle il y a deux jeunes Ecoliers
, qui eii lu ttan t, jettent les. mains PP
flb Tom.II. H n n avant,