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ayent bien chamgc y -& que les.Arabe§, qui ai\ï
remarqué* parcxpé r îencequ’i IspouVoien t tirer
afte-zft’argent de-ces petitesy Ï do ie^fay en%
fort blendes* aller v éndte * an C a ir e * icomms
le. ..Sr. Théyenot l’.a déjà remarqué p quo.y qu’il
fbit .yarayporuftàiit*qu’elles nly fontipasehe?
res 2 )Less F ran es, qui fay eut qu’e a 'Europe ;o&
èftpafle z >curpepfe Jdè *ee& b agate M es antiques.,
les .achètent toutes pour les revendreza£ikf-r •
$ 0 iE>e mon témi il y .avoir
François qui en faifoit t r ah c , m ais ilé toi tu&
p © uxhé r 'J! jEü a n t ai o maître de trois Momies,
dont üiF; y > h h &\ho ip u n é jj m > if ayoiit^amia isii t^e
ouverte, ÿjeniTe^JfeGvypnlttd’adbet^ç^JEaaiS' | |
mèo. deinaiXidoitopas: moius de quatre ;Qep:ç&
i£.mî« ^ d fa ^ .f c n < in y 'n u i 4
Apres icette petite, digrefïion rt£é
prendre J a relation de. M elton > : •«*, Qn MQpvtë
jy.ennorejditTiljdansHle-mêmeiieUjdeg^andçs
,,,T ahj.est de pierre ^gravées de .chiftes ;&4e
yy> figures énigmatiques, v qui.reprdf^tpftr
3 Chimie &. les autres Seiences: 4e$ Anoién$
\ i Egyptiens y comme aufti de:s ea£3t<fter©s pç^
ài w Gordin aires.y qui ne font p^sIpQdrt an,t dg§
E ier o gly phi qués. % y* i 3 i: c . a i ? è % \ &* Jt \ % ; % I tt>
3 .^:Gé fo n tlà le sre lie s d e l ’orguëil & 4e
w vanité des Anciens Egyptiens *•$? de trir,
yifftesbpreuvesique lesfmmmes font fujets & la
,ÿïmott^Ceux .qui viennent pont la premier^
. p fois
E Ni Ets Y PT I ; 5 Y R I E * Çrc. î i
. fois* à ce Champ font faifts d’horreur ; &
. quand on regarde avec quelque attention
y 0ette quantité d’os dont il eft feme, on dif
jTOit que ce lieu a fervi autrefois d’un champ
, de bataille» * ; • I -.> ? < | i o t { M* ■' ■ ■:r < * J
y, On y voit encore quinze Pyramides >en_
y tre lesquelles il y en a trois d’une grandeur
. extraordinaire, & qu’il femble que le temf
, *ait youlu refpeder y car ejles font prefque
^ entières •& fans être>endommagées i elles
3 ont aulh chacune une ouverture par où Ton
pa'ffe dans une chambre. La curiofîtér,' qui
,-eft ordinaire aux Voyageurs, ht que nous
, entrâmes dans celle qui effi laplu^éjoignéq
y du Bourg j & qu’on appelle ordinairement
, U Pyramide de Ahodope. Nous en trouvâmes
, l’entrée plus commode , félon mon juge-
, ment, que celle des autres que nous avions
, vues a u p a ra v a n tp a rc e que le chemin par
y où l ’on y entre ell plus élève y mais il eft
y-hien deux fdis auiE profond que celuy dés
, autres Pyramides^r- cependant,. comme il
, n’eh: pas.roidety Fl eft bien plus] aifç à prati-
, qùer y d’ailleurs il eft fît proton d,qu© j© croy
, quvil va j ufqu aux fondements*. Au bks. de
,c e tte defeente nous ne trouvâmes point de
, degrez pour monter , comme dans les
, très Pyramides,, mais feulement la chambre
, des* Sépultures, qui eft fort .{pacieufe &f°éc
■ JTnw,' TT ^
Pyrâmîde*
des Mo- miesv