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Pîerre o»
flfparoît des
iseffemblan-
ces depoif-
fojQS.
C H A p i T R B, L y I IL
Pierres dans lejqueïïes il paraît des reffembUnces de Poifi
fins. Accident malheureux de quelques yaiffiaüx dans
le Port de S. %ean d% Acre. Particularité^ touchant l&
ruilte de Tripoli. Manière: de <vfore fort extraordinaire
dun Saint homme Adahometan , &c.
«P R e” s avoir fini le Chapitre precedent,
npar quelque remarque fur les fruits de
Cèdre , nous ne faurions mieu,x commencer-
celui-cy q u e n d ila n t quelque chofe de certaines
pierres „ où l’on v oit Ja reffemblance de
diverfes Id rt^d ep p ^ lîe Ji^m â i^€ n a tu re lll,
du’on ne fauroit la regarderions admiration ..
On trouve ces pierres au haut d’uné monta*
' gne à quelques heures de diftancedeTripolL
Quand elle&fönten|ieres*on u^y voit rien du
tout par-dehors, i rnais lorfqu’an les caife * en
les jettân t à terre ou éh les frappant contre
quelque chofe de dur, elles fe. tendent à peu
près comme les a rd o if e s Sc alors on voit ordinairement
fur chacun des deux morceaux
la relïemblance d’un poiflbn >. ou pour mieux
dire de fon arrête. Afin d’avoir de ces pierres,
j ’envoyay une perforine exprès avec un ane
à la montagne , qui m’en apporta une aiTez.