2,40 ’ ^OYIAJGTE A.U L i V A K T ; *
i 3 . La Tour des Sautons du S. Sepulchre}
14. Le Temple de Salomon,
15. La Tour du Palais de Pilate.
16. S. paonnes in monte, ou l’Eglife de S. Je an
fur la montagne jà preferit Mofquée des Turcs.
17; La Tour de Simon le Pharifien.
: 18. La Maifon de 'Ste. Anne.
19. La Tout de laPifcine Probatique , ou
Lavoir aux Mourons,
zoJ La Parta Aurea , on la Porte d ’Ox,
11. La Porte S. Eftienne.
11. La Porte d’Herodes, :
13,. L’Eglilè de Saint Samuel.
14. La Porte de Damas.
15. La Montagne des Oliviers. ( a )
(a) Acedeflein de Jerufa-
lem , qu’on peut conférer
avecilesautresvûës que tant
de Voyageurs ont données ,
je dois ajouter icy les xne-f :
fures exaâes que M. Maun-.
drel a prifes de fon circuit.
Cette Ville n’a au jour d’h uy
que 4630. pas de circonférence
, favoir de la Por tede
Bethléem jufqu’ au coin à
droit 406. pas 3 de ce coin
jufqu’à celle de Damas 680»
de-là àeèlle d’Herodes 3 80.
de cette Porte à la Prifon de
Jeremie 150. de cette Prifon
au coin , qui regarde la
Vallée de Jofaphat 22 ƒ • de
« e t angle d; la Porte de S.
Eftienne 385» de-là àiaPor-
te d’Or 240. de cette Porte
au coin de la muraille 380.
& de ce coin à la Porte dn
Fumier 47©.: de-làjufqü’à la
Porte de Sion 65,0. de la Porté
de Sion au coin du W r
iry . & de-là à la Porte de
Bethléem joo.
<EÜ E GY T?TE; SyRI Ï % 14^
- \ Ç H A t I T R E L I V.
J)efcription de l'Eglifè du S. Sepulchre , avec quelques
autres ^articulante^ qui appartient à .ce fijet. :
*W v E '8. de Novembre, comme on m’apprit Entrée dre
I ! que l’Eglifè du S. Sepulchre étoitouver- ‘
t e , je me difpofay à y aller le foir même fur fendsu sfiit
les quatre heures. Les Pèlerins Grecs r qui Sepulchre,
étoient alors a Jerufalem, étoient déj a daiis
l ’Eglifè avec les femmes &c les enfants , ce qui
faiîoit une grande confusion, qui e to i t enco-j.
re augmentée par le pbu de reCp.eél: qu’ils gar7
•dent dansdeur s exercices 4e piet,é. Le fripon
fit U Procêfiîon félon la coutume. J ’y afliftay
aufli ., mais je n ’en donneray pas pourtant la
defcription 3 on en a allez de connoilfance
par ce qu’en ont écritceux qui nous ont donné
les relations de leurs voyages en ce païs-
là. Les Grecs palferent la nuit dans l’Eglifè
& y firent tant d’extravagances qu’çlje [reft
fembloit plutôt à une place de marché;^ qu’à,
junjieu où l ’on ne doit aller que pour faire fes
dévotions,. Lorfque le jour commença à pa-;
roatre, le bruit pelfa ôc tout le monde fortit ;
deforte qu’y étant demeuré feul comme. Pèlerin
é tra n g e r, j ’eus le tems de voir tout à
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