42.8 Vo Y A G E Au L ev À-.Jff f® t
rien de commun, avec le mot; Latin
mais qui fembJeipUbfo.â&éi dérivé.. de*q«*Ms*
QU!wAp! qu’Hefychius .traduit ^xsfMùç ou ■
j pçut-être de tpi qui > : L u isa n t I e
Auteur:* ;Ltcdf une Idole chez les Egyptiens..
Aufli lernot.Hebre.u n e ft pas ^o^Tadmor , mais
T»n Tamor ouTower,qiiien Hebrew, ^gpi^e un
Balmier. < o S l 1 $ { i gjpwtt 1 « i «es
; B o ur c e. qu ire g ar de. le s: d i V ex s* changements ^
qui font arrivez a cette ville, & .quelques au.-,
très çirconftances durant les grands trouble?
furvenus fous les differentes*.I^ominations
qui £e font fuccedées les unes- aux autres dans
l’O rien t, les Livres n’en parlenvpoint. Mais
il eft fort aifé de conjeélureç qp’une^yiMe^
conftdérable, éloignée de Jerufàlenvde plus
de troisxents milles, n’ e ft.p asdemeur ée lo ng-
tems entre les mains des Juifs,, fi Bon con-
! fidere qu’immédiatement après. Salomon, ils.,
tombèrent dans un grand ScEiiine , ôé quHls
diviferent leurs forces tellem en t, qu’il "mè
faut point douter que cette.ville.n aitrete.afin
jnttieaux^ Rois de Babylpne de de Perfe ; Ss
apr ès eux ,.anx M acédoniens, fous Alexandre
êc fous les Seleucides. Mais lorfque les RoA
mains, eurent misJe pied dans ces quartiers^
là , & que les Parthes , qui étoient les Mai?
très dans l’O rien t, fembloient les devoir ar1*
$êtex dans. fours conquêtes. Cette ville dè
Ealmÿie^
rar JLgv p t e* )>'Syr j > esr«' 4 tjp
Bal myxe0 qu i :é to i t comm e fr pn tie r e entreces
de ux-Empires,. prit iocc^/îon de fa fi fixation*,
qui eft au m i 1 ien «Bu n g# and de.fe rr ou p a£
conféquent une-armée qui au r oit -youlu l]al-
fox, çpqti'^indre .n’ auroit ,p^fuBfl^qjT.>raudi^
bien que de la jaloufie & dèsr cqnteftations
qui étôient entre ces deuxBuiiTahees Velie eii
prit dis-Je mcafain de .fpngef a. fpmettre » en •
!i ber te l, &' d* être t comme 1 e Magafi n d u commerce
pour la cp-mmodité cfo ces deux grands-
Empires , .cdm^ié ilp££9it jg$j«£e qp’ep,difpnt:
Àppien ôç PiiupJ- ,v
Le premier nous ‘dit au 5 ; livre des Guerresï
Civiles^ que Marc-Antoine envpya farcavale-
rie^ponr- pillernia -vi|lè de Palmyre-i.: jbuif ç%'
fép|/prqte^tér^ qu’féligm entroit pas qffo:£-dans:
ies.iûtçrêts dès Romains «ç'i -K«^ Hx^Siaiay
-e^u^î,«5. h^oy, 'ôt- qu etants hiar—
ehands, ils amenoient les marebandifes de^*
Indes.,&: dé l’Arabie par la Perfe; dans l’Empire
Borna in quoy. que 1 a, véritable caufe*'
de cette invaiîon fût; Je s g r and s t r efors de ceç- •
te ville , dont il vouloir enrichir fa Cavale- -
rie.M
àis îés Palmyrénîens, étaiits avértis de c e :
deffei.n , , allèrent au-devant , ôç tâchèrent*'
dt-empêcher le pillage de leur ville i. Gette?en^
treprife de Marc-Antoine caufamne grande*-
tuptur e ; e ntre l'es d è ux; Em pire s. ■’
Pli hais»