2,3 V o y a g e a u L e v a n t , ;
au terns de David > & en\ continuant notre*
Retour à chemin, nous revînmes à Jer.ufalem3,orù nous;
Jerufalem». arriv ârnes àmidy > enforte.quenous employ|-r
mes quatre heures, à faire les deux. Ueuës qu|
font depuis Bethléem jufqu à cette^ Villfi- EJutwr-m** IdMomgnç fct
la ruiMe. de
HE lendemain de monretbur , qui était
le Dimanche , je me repofay{un peu , &:
je n ’aMay nulle parti mais le jourfuivant j, al-
lay à la Montagne des Oliviers pour deiliner
la ville. L’endroit que je chpifis ne fut pas
eelui' oaLétoit. Jefü«jriChj:ift,;lo«:
fur elle vparce que les autres-, qui y font allez
av an t moy, l’onttoûjpurs reprefentee do
ce coté-Là. J ’allay doneme placer un peu plus
loin vers le midy de Lar montagne. > a fn d e
prendr e le crayon dedaville j au tant q u i! me
feroit polfible ^du cote- du Sud-Eft. J4 ctois accompagné
de deux Religieux ôc du Droge-
man qui faifoient. continuellement garde autour.
de. moy - a f in dé n’être vu de perfpnne
pendant que j,’étois dans> cette, occupation.
Et pour nous, mieux précautionner a. n9us
avions toujours auprès de nous unepetite corbeille
pleine dè ce qu’il faut.pourfait^ un-repas
, & nous! faisons femblant de manger &
do boire dès que nous, vpiyons quelqu’un approcher,
de nous,, ce qui nous arrivait quei-
L’Auteirr
va fur la<
Montagûe
desOlivîer»
pour deffi«
ner Jjsru&r
lem»-.