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ocreuse qui se trouve dans plusieurs endroits
; elles la mêlent et la délayent avec de
la graisse : cette terre ressemble beaucoup
à la brique ou au tuileau mis en poudre. Le
noir n’est autre chose que de la suie ou du
charbon de bois tendre. Quelques femmes
se contentent, à la vérité, de peindre seulement
la proéminence des joue» - mais le
général se barbouille la figure par compâr-
etimens symmétriquement variés, et cette par*
tie de la toilette demande beaucoup de temps.
Ces deux couleurs chéries des Hottentotes
sont toujours parfumées avec de la poudre
de boughou. L ’odorat d’un Européen n’en
.est pas agréablement frappé ; peut-être que
celui d’unHottentot ne trouveroit pas moins
insupportables nos odeurs, nos essences, et
tous nos sachets - mais du moins le boughou
a sur [notre rouge et . nos pâtes l’avantage
de n’être point pernicieux pour la peau 5 il
n’attaque ni ne délabre les poitrines 5 et la
iHottentote qui ne connoît ni l’ambre, ni le
musc, n i le benjoin, ne connoît pas non plus
Iles vapeurs , les spasmes et la migraine.
Les hommes ne peignent jamais leurs v isages
5 mais souvent je les ai vus- se. servir
de la préparation des deux couleurs mé