fut, alors que je remerciai toutràrfait mes.
fidèles, serviteurs, et que je leur payai leurs
gages. Ils bruloient tous d’impatience de re-
joindreleurs familles. J’offris lamain àKIaas ;
41 ne pouvoit se détacher de son maître.
Comme sa horde étoit moins éloignée de la
ville que celle des autres Hottentots que je
veiîois d’affranchir, je l’engageai à me venir,
•visiter ’sbuvent, et lui promis toujours le
mêmè appui, la même confiance et la même
amitié; je l’assurai particulièrement que je ■
ne languirois pas long-temps au C ap, et que
je comptois siirllúfipoprjdé^nbtiyelles entreprises
; c’étoit l’objêtÿdêffëi^Êî^ii^irs, et
l’unique contre-poids de voue
que je ne pus le voir partir sâï^êffe moi-
même étrangement ému , malgré les distractions
que me donnoit la foule des arrivans
qui se pressoient dans la maison de mon
ami, les uns attirés par l ’intérêt généreux
que leur inspiroit ma personne, un plus
grand nombre par le besoin de satisfaire leur
avide curiosité.
F I N.
Je place à la suite de ce volume les figures:
des girafes mâle et femelle ; je n’ai cependant
rencontré ces animaux qu’à mon second'
voyage; e’est ddne une antioipatidn qui peut
paroître irrégulière, mais à laquelle je suis
en quelque façon contraint par des sollicitations
et des iqstances que je dois regarder
comme des ordres.
■ j ’ajoute, par supplément et pour l’expliba.
tlou de ces deux p l a n c h e s apperçu
prie sur les arnimrax qu’elles»présentent
rerérvant des détaüs plus essentiels et ptm
survis pour Peudroit où naturellement ils
doivent trouver leurs places.
On a tant et si diversementparlé d é la g i-
W Ê quel maiSré Tea dissertations élégantes
et seienfafiqnessur ce sujet, ôn n’axas-, jus-
qu a présent, une-id^ nette et précise de sa
configuration, moins encore de-se s moeurs
de ses goûts, de son caractère et de son o z o nisation.
»& l p™ ' lfeq^inpëdtec«mnte: ' & pré-
SJ m Ver l^ OIt ^ WaTder * lk W t e n r , sans
ffibu|felagtrrfe-se verroit au premier rang •
maie, qne-je conserve dirns mon caBiuet,
dont ou voit la figure pianche x x