
des P. B ., Anseres, 6. — Degl. et Gerbe (1867), Ornith. eu r., 2“ éd., II, 573, — Przew.
(1867), Voy., n° 214. — Dyb. (1868), J. f. Orn., 339. — A. Dav. (1811), 2V; Arch. du
Mus., Bull. VII, Cat. n° 433. — Mergellüs albellus, Swinh. (1871), P. Z . S., 416.
Mergus albellüs, Severtz. (1873), Turk. Jevotn., 70. — Dress. (1876), Ibis, 421. —
— Mergellüs albellüs, Tacz. (1877), Bu ll, Soc. zool. F r ., Il, 49.
Le Harle Piette, qui est de la taille d’une forte sarcelle, niche
dans les régions boréales de l’Ancien-Continent et visite dans ses
migrations l’Europe, l’Algérie, le Turkestan, l’Inde septentrionale,
la Sibérie orientale, le Japon et l’empire chinois. Il est fort
commun pendant l’hiver sur les fleuves et les lacs de la Chine
centrale et passe en grand nombre à Pékin à la fin de la saison
froide : on voit alors aux environs de la capitale beaucoup de
mâles adultes de cette espèce, reconnaissables à leur tête et à
leur cou blancs, et à leurs yeux entourés d’une large plaque d’un
noir verdâtre.
734. — M ERGU S M ER G A N SE R
M e r g u s MEUGANSEIl et M. CASTOR, L. (1766), S . N ., I , 209. — L e H a r l e , Buff. (1770),
PI. Eut. 951 et 953. — M e r g u s m e r g a n s e r et M . c a s t o r , Gm. (1788), S . N ., I , 544 et
545. i - M e r g d s m e r g a n s e r , Pall. (1811), Zoogr., I I , 286. - \V i l s » (1814), Am. Orn.,
V I I I , 68, pl. 68. — Toiri. (1820), Man. d'orn,, 2e éd,, I I , 881. — M e r g u s m e r g a n s e r ,
Gould (1832-37), B. of Eur., pl. 384. — M e r g a n s e r c a s t o r , Bp. (1838), Comp. List,
59. —M e r g u s m e r g a n s e r , Aud. (1838), On, biog., IV , 261, pl. 331, et (1843), B. Amer.,
V I , 387, pl. 411. H M e r g u s o r ie n t Àl i s , Gould (1845)) P. Z. S., 86.— Gr. (1846),
Cat. Hogds. Coll. 147. ■ M e r g u s c a s t o r , Blyth (1849), Cat: 308, n° 1,798.— M e r g u s
m e r g a n s e r , Tem. et Sehleg. (1850), Faun. Jap., Aves, 129. — Midd. (1853), Sib. Reis,,
I I , 238. Sehr. (1860), V&g. d. Am. L., 485ÏS- Swinh. (1860), Ibis, 67.— Badde
(1863), Reis. in S. O. Sib., I l , 378. — M e r g u s c a s t o r , Swinh. (1863), P. Z. S., 323. —
Jerd. (1864), B. of Ind., I I , 817. H M e r g u s m e r g a n s e r , Sehleg. (1866), Mus. des P. B.,
Anseres, 2. — Degl. et Gerbe (1867), Ornith. eur., 2® éd., I I , 569. — Przew. (1867-69),
Voy., n° 212. H A. Dav. (1871), N. Arch. du Mus., Bull. V I I , Cat. n° 435. — M e r g u s
c a s t o r , Swinh. (1871), P. Z. S„ 416. — M e r g u s m e r g a n s e r , Severtz. (187t)ÿ Turk.
Jevotn., 70. — Dyb. (1873), J. f. Orn., 110. ■— Me r g u s . ' c a s t o r , Swinh. (1875), Ibis,
456. — M e r g u s m e r g a n s e r , Elliott Coues (1874), B. oftheN.- W. Am., 583. — Dress.
(1876), Ibis, 421 ■ - Tacz. (1877), Bull. Soc. zool, Fr., II, 48.
Le Grand Harle ou Harle Bièvre, qui a la taille d’un gros
canard et dont le vertex est orné d’une touffe de plumes courtes
et serrées, descend des régions arctiques jusque dans les États-
Unis, l’Europe méridionale, l’Algérie, l’Asie centrale et la région
himalayenne, le Japon, la Sibérie orientale et la Chine où il est
très-répandu pendant l’hiver. On prend aux environs de Tientsin
et de Pékin un grand nombre de ces oiseaux et, parmi eux,
beaucoup de sujets adultes. Je crois néanmoins que le Harle
Bièvre, de même que ses congénères, ne se propage point dans
l’empire chinois, car je ne l’ai jamais rencontré pendant 1 été.
735. — M E R G U S SQ U AMA TU S
Mergus squamatus, Gould (1864), P. Z. S., 184. - Mergus merganser Sehleg.
(186?), Mus, des P. B., Anseres, 2 (part.). — Mergus squamatus, Swinh. (1871),
P. Z. S.. 416.
Cette nouvelle espèce de Harle, qui n’a point été acceptée par
le professeur Schlegel dans son Catalogue du Musée des Pays-
Bas, a été décrite d’après un jeune individu provenant de Chine.
D’après M. Gould, elle serait d’une taille intermédiaire entre celle
des deux espèces précédentes et aurait pour caractère distinctif
des taches en forme d’écailles sur les plumes des flancs.
736. — MERGUS SERRATOR
Mergus serrator, L. (1766:), S. N., I, 208. - Le Harle huppé, Buff. (1770), Pj.
Enl. 207.— Mergus serratus, Gm. (1788), S. N., I, 546. - Mergus serrator Pal .
(1811), Zoogr., II. 286. - \ \ ils. (1814), Am. Orn., VIII, 81, pl. 69. - Tem. (1820 ,
H H H W II, 848. - Gould (1832-37), B. of Eur., pl. 385. - Aud. (1839),
Orn bioa V 92, pl. 401, et (1843), B. Am., VI, 395, pl. 9 9 0 Tem. et SctfleS-
( J S 'O ) , Faun.’Jap., H | 129. — Middffl853), Sib. Reis., II, 238.B Schr. (1860),
Vba. d. Am. L., 486.S Mergus serratus, Swinh. (1860), Ibis, 67«-Mergus serrator,
Badde (1861), Reis. in S. O. Sib., II, 379iJjswinh. (186:8), P■ A. S., 323. — Schle=-
(1866), B U p- *■> H i 3- - De570. H Przew. (1867-69), Voy., n» 213. -§L Deyt bG. e(r1b8e6 8), D f. Orn., H339. 2eA.é. dD- av.
(1871), N. Arch. du Mus., Bull. VII, Cat. n» 434. - Swinh. (1871) P. Z S., 416 et
(1875), Ibis, 456. -Elliott Coues (1874), B. of the. N. W. Amer., 456. -Tacz. (1877),
Bull. Soc. zool. Fr., II,' 49.
Le Harle huppé, qui a la taille d’un canard ordinaire et dont
la nuque est garnie de plumes effilées, habite les mêmes contrées
que le Harle Bièvre, et effectue à peu près les mêmes
migrations. On le rencontre aussi pendant l’hiver sur les eaux
douces et sur les côtesde la Chine ; dans ce pays, toutefois, les-
mâles adultes paraissent assez rares, et jamais je n’ai pu m’en
procurer à Pékin.
COLYMBIDÉS
On n’a rencontré jusqu’à ce jour dans l’empire chinois qn une
.geule des 4-espàces qui composent ce petit groupe, propre aux régions
boréales des deux mondes.