
rives limoneuses du Hoangiio, où quelques couples nichent
chaque année.
661. — Il IM A N T Ol'CS CA NDI D US
* Charadrius autumnalis, Hasselcp (1737), tt., 253, n° 29. — Ciiàradrius iiiman-
t° pus, L. (1766), S. N., I, 255. — L 'Échasse, Buff. (1770), PI. Enl. 878. — Chara-
driüs himantopüs, Gm. (1788), S. ]V., I, 690. — Himantopüs candidus, Bonnal. (1791),
Tabl. Encycl. omith., 24. — Himantopüs albicolus, Vieil]. (1817), Nouv. Dict., X, 4.
— Himantopüs melanoptbrüs, Tem. (1820), Man. cl'orn., 2» éd., Il, 528. — Himantopüs
candidus, Blyth (1849), Cat. 264, n° 1,572. — Bp. (1856), Compt. rend. Ac.Sc.J
XLIII, Tabl. desEchass., n» 148. —Jerd. (1864), B. oflnd., II, 704.— Degl. et Gerbe
(1867), Omith. eur., 2» éd., II, 246. — A. Dav. (1871), N. Arch. du Mus., Bull. VII,
Cal. n° 383. Swinh. (1871), P. A . S ., 405. — Hipsibates himantopüs, Severtz. (1873),
Turk. Jeootn., 69. — Himantopüs candidus, Dress. (1876), Ibis, 329.
L Echasse blanche ou commune d’Europe, gracieux oiseau
blanc aux ailes noires, aux pattes rouges démesurément allongées,
se trouve communément en hiver dans l’Inde et en été
dans le Turkestan, mais doit être fort rare dans l’empire chinois,
car je n en ai vu qu’un seul exemplaire tué près de Pékin sur
le Houn-ho, et M. Swinhoe n’a jamais rencontré cette espèce.
662. — TOTANUS GLOTTIS
Scolopax glottis, L. (1746), Faun. Sttec.. 171. — Limosa grisea, Briss. (1760),
V* 2<h- — La Barge grise, Buff. (1770), PI. Enl. 876. - Scolopax glottis, G ni.
(1788), S. N., I, 664. — Totanus glottis, Tem. (1820), Man. d’om., 2“ éd ., II, 659.
- Totanus glottoîdes, Vig. (1831), P. Z. S., 173. - Gould (1832), Cent. Htm:. B., 76.
Tôt asus nivigula (Hodgs.), Gr. (1844), Zool. Mise., 36. — Glottis Vigorsi e t Gl.
ntvigula, Gr. (1846), Cat. Hodgs. Coll. 138. — Totanus glottis, Blytli (1849), Cat. 265.1
n ° 1,578.—-Midd. (1853), Sib. Beis., II, 213. — Glottis canescens, Bp. (1856), Compt.
rend. Ac Se., XLIII, Tabl. des Ech., n» 227. — Totanus glottis, Sclir. (1860), 1%.
414- — Totanus glottoîdes, Swinh. (1860), Ibis, 66. — Totanus glottis,
Swinli. (1862), Ibis, 254, et (1863), ibid., 406, — Radde (1863), Beis. in S. O. Siô.,
* 4 2 7 .— Jerd. (1864), B. oflnd., II, 700. — Schl. (1864), Mus. des P. B., Sro/on.J
61- - Totasüs griseus, Degl. et Gerbe (1867), Omith. eur., 2= éd., IL 215 (excl. syn.)
— Totanus glottis, Przew. (1867), Voy., n» 161. — Dyb. (1868), J. f . Orn., 337. —
n- X-18' 1)’ N' Arch' du MuSê’ BuU- VII> Cat n ° 384. — Swinh." (1871), P. Z. S„ 40».— Wald. (1875), Trans. zool. Soc., IX, part. 2, p. 234. — Tacz. (1876), Bull.\
Soc. zool. Fr., 1,250. 1 ”
Le Chevalier aboyeur ou Barge grise d’Europe, reconnaissable
à sa forte taille, à son bec légèrement retroussé, à ses
pattes vertes et à ses plumes'sous-caudales d’un blanc pur, a
été rencontré non-seulement dans la Sibérie orientale, mais
jusques aux Philippines. En Chine, il est aussi commun que
dans les pays d’Occident, au bord des lacs, des marais et des
fleuves et sur les rivages de la mer, et dénote de fort loin sa
présence par son cri retentissant (kio-kio). Au printemps, il passe
en nombre considérable sur les côtes, et les Chinois le prennent
au filet en même temps que d’autres chevaliers, des bécasseaux
et des pluviers.
663. — T O T A N U S S TA G N A T I L I S
. Scolopax totanus, L. (1766), S. N., I, 245 (nec Gm.). — Totanus stagnatilis,
Becbst. (1809), Nat. Deutsch., IV, 261. — Limosa totanus, Pull. (1811), Zoogr., II,
183. — Glottis stagnatilis, Koch (1816), Baier. Zool., 306. — Totanus stagnatilis,
Tem. (1820), Man. d’om., Il, 647. — Tringa tenuirostris, Ilorsf. (1821), Trans. L. Soc.,
XIII, 192 (nec Swinb.). —Totands Lathami, Gr. et Hardw. (1830-34), lit. Ind. Zool.,
pl. 51, f. 3. — Totanus stagnatilis, Gould (1848), B. of Aust., VI, pi. 37. — Blylh
(1849), Cat. 266, n" 1,579. — Midd. (1853), Sib. Reis., II, 214. — Bp. (1856), Compt.
rend. Ac. Sc., XLIII, Tabl. des Éch., n» 229. — Swinli. (1862), Ibis, 254. — Radde
(1803), Reis, in S. O. Sib., II, 328. — Schl. (1864), Mus. des P. B., Scolop., 68. —
Degl. et Gerbe (1867), Orn. eur., 2' éd., II, 221. — Przew. (1867-69), Voy., n» 159.
— Swinh. (1871), P. Z. S., 405. — Severtz. (1873), Turk. Jeootn., 69. — Dyb. (1874),
J. f. O., 325 et 336. — Dress. (1876), Ibis, 412. — Tacz. (1876),Bull. Soc. zool. Fr.,
Mm,
Le Chevalier stagnatile, au bec très-grêle et de couleur noire,
aux pattes d’un noir rougeâtre, marquées de vert aux articulations,
se trouve dans l’Europe orientale, dans le Turkestan, dans
l’Inde, à Ceylan, en Australie, et vient nicher dans les steppes
de la Sibérie orientale ; mais on ne l’a observé que rarement
dans la Chine proprement dite et en Mantchourie.
664. — T O T A N U S FUSCUS
Limosa füsca, Rriss. (1760), Or»., V, 276, et pl. 23, f. 2. — S colopax fusca, L.
(1766), S. N., I, 243. — La B arge brune, Buff. (1770), Pl. Enl. 875. — S colopax
totanus, Sc. fusca, S c. curonica et T ringa atra, Gm. (1788), S. N., 657, 665, 669 et
673. — T ringa atra, Lath. (1790), Ind. orn., Il, 738. — Limosa fusca, Pali. (1811),
Zoog., II, 187. — T otanus fuscus, Tem. (1820), Man. (Torn., 2° éd., II, 639. — Gr.
et Hardw. (1830-34), III. Ind. Zool., II, 53, fig. 1 et 2. — Gould (1832), B. of Eur.,
pl. 309. — Blylh (1849), Cat. 216, n» 1,581. — Midd. (1853), Sib. Rets., II, 214. —
Bp. (1856), Compt. rend. Ac. Sc., XLIII, Tabl. des Éch., n» 231. — Swinh. (1862),
Ibis, 254, et P. Z. St, 319. — Radde (1863), Beis. in S. O. Sib., II, 327. — Jerd.
(1864), B. of Ind., II, 702. — Schleg. (1864), Mus. des P. B., Scolop., 64. — Degl. et
Gerbe (1867), Omith. eur., 2» éd., II, 217. — Przew. (1867-69), Voy., n» 160. — Dyb.
(1868), ./. f. Orn., 337. — A. Dav. (1871), N. Arch, du Mus., Bull. VII, Cat. n» 385.
— Swinb. (1871), P. Z. S., 406. — Severtz. (1873), Turk. Jevotn., 69.— Swinh. (1875),
Ibis, 453. — Dress. (1876), Ibis, 411. — Tacz. (1876), Bull. Soc. zool. Fr., I, 250.
Le Chevalier arlequin ou Barge brune do Bufïon se distingue
facilement des autres espèces du même genre par son plumage