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1. Bretschneider, ¿. c., p. 15.
2. Bretschneider, l. c,
3. Bretschneider, L c., p. 23
Orient,
qui cultivaient déjà certaines plantes. L ’agriculture est plus
ancienne dans cette région que Babylone et les premières dynasties
égyptiennes, lesquelles datent de plus de quatre mille an s .
Les empires assyriens et égyptiens se sont ensuite disputé la
suprématie, et dans leurs luttes ils ont transporté des populations,
ce qui ne pouvait manquer de répandre les espèces cuBi-
vées. D’un autre côté, les peuples aryens, qui habitaient primitivement
au nord de la Mésopotamie, dans une contrée moins
favorable à l ’agriculture, se sont répandus à l’ouest et au midi,
refoulant ou subjuguant les nations touraniennes et dravidiennes.
Leur langue, et surtout celles qui en sont dérivées en Europe et
dans rinde, montrent qu’ils ont connu et transporté plusieurs
espèces utiles \ Après ces anciens événements, dont les dates
sont généralement incertaines, les voyages par mer des Phéniciens,
les guerres entre les Grecs et les Perses, l ’expédition
d’Alexandre jusque dans l’Inde, et finalement la domination
romaine ont achevé de répandre les cultures dans Pintérieur de
l’Asie occidentale et même de les introduire en Europe et dans
le nord de l’Afrique, partout où le climat pouvait leur être favorable.
Plus tard, à l’époque des croisades, il restait bien peu de
plantes utiles à tirer de l’Orient. Il est arrivé alors en Europe
quelques variétés d’arbres fruitiers que les Romains ne possédaient
pas et des plantes d’ornement.
La découverte de l’Amérique, en 1492, a été le dernier grand
événement qui a permis de répandre les plantes cultivées dans
tous les pays. Ce soiit d'abord les espèces américaines, comme
la pomme de terre, le maïs, la figue d’Inde, le tabac, etc., qui
ont été apportées en Europe et en Asie. Ensuite une foule d’espèces
de l ’ancien monde ont été introduites en Amérique. Le
voyage de Magellan (1520-21) fut la première communication
directe entre l ’Amérique méridionale et l ’Asie. Dans le même
siècle, la traite des nègres vint multiplier les rapports entre
l’Afrique et l’Amérique. Enfin la découverte des îles de la mer
Pacifique au xviii® siècle, et la facilité croissante des moyens de
communication, combinée avec un désir général d’améliorer,
ont produit la dispersion plus générale des plantes utiles dont
nous sommes aujourd’hui les témoins.
L§ S. - Ling]uiistic|ue.
Les noms vulgaires de plantes cultivées sont ordinairement
très connus et peuvent donner des indications sur l’histoire
1. Il existe, en langue française, deux excellents résumés des connaissances
actuelles sur l’Orient et l’Egypte. Je ne saurais trop les recommander
aux naturalistes qui ne se sont pas occupés spécialement de ces
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