})Osilioii de laits qu’il suffit d’indiquer pour eu faire
sentir l’importance, me réservant de les reprendre
bientôt, pour leur donner , dans des mémoires spéciaux,
tous les développements nécessaires (1).
Maintenant, de quelle manière se développent les
vaisseaux tubuleux? Quels sont les corps qui les obstruent
généralement, tels que poils, grillages, masses
celluleuses , sécrétions gommeuses, résineuses, scle-
reuses, etc., et quelles sont les causes <jui produisent
ces entraves ? Telles sont les questions qui seront résolues
dans un autre mémoire dont tous les matériaux
sont prêts.
(t) Les conctusions de ce mémoire et de ceiid que j ’ai pubiié suite
Cissus hydrophora, se trouveront à ta fin d’un troisième que je
prépare maintenant sur ies vaisseaux fibi-eux de l’ecorce ( vaisseaux
méritiiaitiens ou vaisseaux du système ascendant de fécorce),
sur tes vaisseaux du Intcx el sur tes vaisseaux du système descendant
de fécorce ou du iiber pro]>rement dit, etc.
RECHERCHES GENERALES
s u a
LA PHYSIOLOCtIE ET L’ORGÂNOGÉNIE DES VÉGÉTAUX
(2® ET 3® p a r t i e s ) ;
PAR CHARLES GAUDICHAUD.
E x t r a i t p a r l’a u t e u r ( i ) .
Un voyage long et pénible, une santé toujours languissante
et de trop nombreuses occupations m’ont
empêché d’achever les études organographiques,
physiologiques et organogéniques que j ’ai entreprises,
et dont les bases sont arrêtées depuis 1833.
Ces motifs, joints à l’importante publication de la
partie botanique du voyage de la Bonite, qui m’a été
(1) Voy. Comptes rendus de l ’Académie des sciences, du 27
ju in 1842.
Nous devons rappeier aux botanistes que nous n ’avons présenté
ce travaii à f Académie des sciences qu’avec ie doute qui convient
à toute production avancée et pour ainsi dire d’avant-garde de la
science, ou comme un simple cadre provisoire dégagé des expériences,
des dessins et des faits qui doivent le remplir un jour.
Les physiologistes éclairés reconnaîtront pourtant, que s’il a pu
se glisser dans cet essai quelques e r re u rs , vraiment inévitables
dans un sujet aussi v a s te , elles sont bien largement compensées
par les principes nouveaux, par les faits rationnels, et surtout par
les vérités générales et absolues qu’il renferme au fond.
Dès que nous aurons satisfait à nos engagements envers le mi