Jussieu; d’autres oui été figuiées dans les Archives
de botanique, en décendire 1833.
Qu’il me soit permis, en terminant, d’adresser à
l’Académie tous mes reraercîments pour l’intérêt
qu’elle a hien voulu accorder à cette première partie
de mon trav a il, et pour les dépenses que lui ont nécessitées
le dessin, la gravure el le coloriage des dix-
huit planches.
REMARQUES GENERALES
LES VAISSEAUX TUBULEUX DES VÉGÉTAUX (l).
Les reiiseignemeiits que j ’ai déjà signalés sur une
liane hydropbore que j ’ai nommée Cissus hydro-
phora (2), à cause de la grande quantité d ’eau séveuse
qu’elle recèle et qu’elle laisse couler dès qu’on la
coupe transversalement, joints à des observations microscopiques,
à des anatomies plus ou moins com-
(t) Ce mémoire a été composé en 1834 ; mais l’auteur ayant été
obligé de p artir inopinément pour son dernier voyage de circumnavigation
sur la Bonite, en remit, avant son départ, le manuscrit aux
rédacteurs des Annales , et les chargea de l’insérer jdus tard et
lorsqu’il y aurait opportunité de le faire. Comme la question de la
continuité des vaisseaux tubuleux a été indirectement soulevée à
l’Académie des .sciences en février 1841, à propos des expériences
de M. Boucherie sur la pénétration des bois par des liqueurs colorées,
et que î l . Gaudichaud, à cette occasion, a rappelé les observations
et les expériences qu’il avait faites sur les vaisseaux tiibu-
leux, mais qui étaient encore inédites , nous avons pensé que le
moment était venu de les imprimer telles qu’elles nous ont été
remises en 1 8 3 4 , en y ajoutant néanmoins , avec le concours dé
l’a u teu r, les références à l’ouvrage qu’il vient de publier sur
l’organogénie et forganographie des végétaux. {Annales des sciences
naturelles, mars 1841.) [Note des rédacteurs.)
(2) Annales des sciences naturelles, septembre 1836.