g le te r re , en Allemagne, en F ran ce , p. i 4o. I l est cliF-
fîcile d’en déterminer avec certitude les espèces, p. i 4 i .
Cha rbon de terre. Des mines de charbon de terre ;
vues générales, page 428. Division à établir entre
ces mines, page 43o. Des mines de charbon des pays
calcaires; leurs différentes espèces, page 43o. Caractères
particuliers qui les distinguent, page 43i. De
quelle manière et dans quelles matières gissent les
mines de charbon des pays calcaires, page 432. Mines
de charbon des pays granitiques, page 43/, Ce que
l ’on entend par pays granitiques, idem. Ces charbons
sont d’une qualité supérieure à ceux des pays calcaires
, page 438. De quelle manière ils se comportent
dans la combustion, page 43g. De leur gis—
sement, page 443. Les mines de charbon de terre
doivent leur origine à des bois entraînés par les
mers, et mêlés quelquefois avec des huiles animales
Pr ovenues des molusques, des poissons et autres animaux
marins, page 444. De la très-haute antiquité
des mines de charbons, particulièrement de celles
qui gissent dans les pays granitiques, page 445. Des
mines de charbon recouvertes par des laves, ou par
d’autres productions volcaniques, page 447. Erreur
de quelques naturalistes qui ont cru que les laves
auraient du embraser les mines, et en ont conclu
que les matières qu’on regardait comme le produit
du feu , n’étaient que le produit de l ’eau, page 447.
Des principales mines de charbon de terre recouvertes
par des laves, tant en France qu’en Ecosse,
page 44g. I l y a des espèces de charbon de terre
plus ou moins riches en bitume les unes que les
autres ; i ly en a même quelques-unes qui en sont entièrement
privées : la mine de Kilkeny, en Irlande, est dans
ce dernier cas. Analyse de cette mine, par Kirwan. p.428.
*— Charbon appelé Cannel - Coal. Son analyse, p. 455.
Celui de Newcastle ; son analyse, page 456. De
K ilk en y , en Irlande, contient g7- 3. de carbone pur
et de cendre 3. 7. page 458.
Collini. Ce naturaliste a fait figurer en p e tit, dans
les actes de la société de Manheim, la tête pétrifiée du
crocodile qui est dans le cabinet de l’électeur; il la
considérait alors comme ayant appartenu à un animal
marin , pag. 163. Ce savant se rangea de mon
opinion , lorsque je lui fis part des caractères qui me
déterminaient à considérer cette tête comme celle
d’un crocodile de l’espèce du gavial, pag. i 64.
Coquilles fossiles. Vues générales sur les coquilles fossiles,
p. 45. L ieux principaux où l’on en trouve de grandes
quantités, page 48. Circonstances locales qui accompagnent
ces dépôts de molusques testacés , page 5i.
Importance de l’étude des coquilles fossiles , relativement
à la Géologie, page 52. Il existe des coquilles
fossiles qui se rapportent incontestablement à des
analogues qui vivent actuellement dans nos mers, p. 55.
Liste de cinquante-six espèces de coquilles désignées
systématiquement, avec les synonimies de Linné , de
Bruguière , de Lamarck et autres, comparées avec les
analogues fossiles, et la désignation des lieux où l’on
trouve ces analogues, ainsi que le nom des cabinets où
l’on peut avoir la facilité de les observer, page 58.
Crocodiles. Des crocodiles en général, page i44. D is tinction
des crocodiles vivants en crocodile du Nil
ou d’Afrique , page i45 ; en caïman ou crocodile
d’Amérique, page i4g ; en crocodile du Gange ou
g av ia l, page i5o.
IVoto. Ce que j ’ai écrit sur ces diverses espèces était