inelleririent dans le livre X V , pag. 690 , et dit, etî
parlant du fleuve Indus ! Caetera vero animalia ,
yuoe plurima sunt eaclem in eo gigni quoe in
N ilo , proeter hyppopolam um.
L ’on voit d’après cet exposé, que les résultats
que celte question peut offrir à la géologie sont
assez importants pour pousser les recherches en^
core plus loin ; je m’en serais occupé moi-même f
d’une manière encore plus détaillée , si la nature
de est ouvrage ne me forçait de passer à d’autres
objets.
DE QUELQUES ANIMAUX FOSSIL. INCONNUS. 56q
C H A P I T R E X I I I .
De quelques quadrupèdes fossiles sur lesquels
les Géologues n’ont pas encore des données
suffisantes.
J ’a i essayé dans les chapitres précédents , autant
du moins que mes faibles lumières ont pu me
le permettre, de débrouiller un peu l’histoire naturelle
des quadrupèdes fossiles. Je les considère
comme une des bases principales de l’édifice géologique
; c’est pourquoi, malgré l’aridité du sujet
et l’espèce de confusion rebutante, qui l’environne
, j’ai fait des efforts, je me suis armé de
courage et de patience , pour entrer dans cette
route semée d’épines et couverte d’obstacles. Je
11’ai pas l’amour propre sans doute de croire que
j’ai réussi j mais je serai dédommagé de mes
peines , si quelques vérités que j’ai pu faire
naître , évitent des peines aux autres et les mettent
sur la voie de faire mieux que moi ; car c’est
l’avantage de la science que je considère avant
tout, et non ce qui peut m’être relatif.
J’ai tâché de lier les faits et de leur donner un peu
d’ensemble; je sens qu’il existe quelques lacunes ,
mais elles tiènent à ce que la géologie, fondée sur
l’observation, n’est encore que dans l’enfance.
Tome 1er, 24