CHAPITRE XVIÜ.
T IUVEU SÉ E DU GUAYAQUIL AUX ILES SANDWICH.
Appareillage.
Le jour ne paraissait pas encore que tout le monde
était sur pied à bord de la corvette. Dès la veille au soir
on avait embarqué les canots, mis chaque chose à sa
place et tout disposé pour l’appareillage. Il ne restait
plus qu’à lever l’ancre et à partir. A cinq heures du matin
le cabestan commença à tourner sur son axe et une
demi-heure plus tard la Bonite sous voiles naviguait,
conduite par le pilote, pour s’éloigner du mouillage de
Puna.
Mais, comme je l’ai marqué précédemment, ce n’est
pas sans quelque difficulté qu’on parvient à sortir de la