i 56 HisTaiRE n a -t u r e m è
Causes n’es-tu pas; entravée dans-ta marché
éternelle ! La petitesse, des esprits ,,lés pasr
signs particulières, les sourdes machinations
de l’envie j ajoutées à la tyrannie, d e f ’igno!-
ra>ïtÇe au, fardeau desl>aupersUlinush,ef à
^°.PP,r^s^ipn j des, * gouverneraens ^ n’enchairr
nent-elles pas sant cesse te§pasl chan£elà)fi$ f?
lie vandalisme,,ef la barbarie :(^iue;tu4isâipes^
la douce humanité; que tu- conduis ;par la
main, ne §ontr ils pas déa /bienfaits asse?
dignea-de|nos, louanges.?;Mânes, [des-grands
.hommes, qpi éçlaipâtfa J*i terîfe par vosiliir
mortels ouvrages-vivons qniinous apprî tes la
.rtoutç du bonheur *,et quino-us ouv rîtes une
nouvelle carrière dp jouissances} que-dMe^f
vous à la vue àqsj crimes Qu:r^désolent | la
terre, s’il y pus»étoit , périma j déryppassey la
fpprjte dexlar]yieF‘^p:ç JPpptérMp tî^lfeeureuSje^
s’ép£ieroient(;€es ho'imhéS /jusjtesv dans , leur
sainte indigtiation ^ quelles- e^îa?qfel^sxàyè^h
y pus amassjéea. sur-yo$; têtéfs /fm, yqnsaéeai?
tant, de la ^vpie .saeréé ded&t veirtu et : deè
sciences ! Iufortupéstofuy^ çesloebupatipns
futiles, insensées,, ipérissables^dpnt jvpus êlel
idolâtres et qui ypi$s nueryKÔt.Qnèlles pasr
sions funesles cdfêeMrpptj! quelfe jmpit-
toyabfe barbaries pus tourmen te ?! Pourquoi
Sèrner toutes- Ips! passionsIcruelles:* comme
lef san^ de Méduse t semait dé ; redou tables*
serpens ?iPourquoi vos mains attisent-elles»
a^ec;d’épée;le feu» des discordes entre l,es»
pêu pies .?*J3st - ce $ ainsi qne s vo us p rétendez»
jpiiiç de la vie ,sur des-monceaux de ca-r-
dayres, ensanglan tésâ;Tandis que de vaines«,
op ini ons; vous ; enivrent de; fureur/ vous ne
laissez pas -même un asÿle hospitalier, un4
humble toit de chaume aux sineécés *t*aux*
vertus; persécutées. Ames /dénaturées par
tpps les forfaitsy répondez^rious devant cette
tombe qui doit .vôuS> engloutir'; avez-vous
écouté la . raison, 'et*, la^dsticei?|Avez- vous4
suivi ;lp§jsaMtfSjimpulsons de Ja^Natureret
det la Y érité&j. ■ Barbaresque faites-youél
Trop eoupablesrhumains ,; reyenèz à éëttô
douce^Naturef, mère des -sentimensi les plus
fe,nd*!ési?etîlès plus subtonies qui puissent
e.xisten Ses- alfeetions transporteront, yps1
çcéprsad’un'è; allégresse,) enivrante ét pu ré;
O. mes « cpnlémporains: !/ je vonfeenf don jure
par- iQutonéaqui; vousitest: ichep, k èà face du
ciel et dèyant oétte-terre to souvenf abrèüVéé
de y otre sang, mais que-le p tintems rajeunit
el/reçpuyj^dé-jsa verdure / devant ce soleil
qui-noùs; éçltore; ; >jè;iVaus en supplie/eon-
sepyez da&s lé/afin de votre famiMei, dé vos
compatriotes, de votre patrie, non moins