AU X M A N E S
de l’immortel
GEÛRGE-LOUIS-LECLEItC BE BUJFFOtt,
le plus éloquent
des Naturalistes J
philosophe profond ,
U ornement de son siècle , et |à gloire de sa patrie j
qui sut élever à la Nature,
cette étude sacrée des âmes sensibles ,
un monument magnifique et durable ,
digne de son sublime génie.
JUILIEN-Jos**a V iR E y consacre ctt ouvrage,
comme un fa ille témoignage de sa vive reconnaissance
envers le premier de ses maîtres.
• < Cf i
H I S T O I R E
N A T U R E L L E
D U G E N R E H U MAIN.
L I Y R E S E C O N D .
De l ’homme, comme premier des animaux*
— De ses moeurs naturelles. 7— Des principes
de sa perfectibilité. — Des caractères
motaux des peuplés, — Des modes en général.
wÈ Des coutumes . ' n %n. ationales. — DIe s!
sacrifices humains et de P anthropophagie.
— Des langues et de leurs dialectes. — De
Pécriture. — Desî religions. — De leur origine
et de leurs effets. •—« Des amusemens
et de la danse. — De la musique. — D e
l ’éducation. — De la philosophie. D e
l ’orgueil national. — De Vesclavage des
nègres. -A Du classement des peuples suivant
leur civilisation. — Des marques de
leur perfection.
S E C T I O N P R E M I È R E .
1 nous ne faisions que l’histoire naturelle
un animal ordinaire, nous devrions finir
ici, puisque nous aurions à peu près par