religieux ont bien plutôt songé à fonder uiï
état obscur et tranquille, qu’ils n’pnt sollicité
le perfectionnement général des nations et
le culte des sciences réparatrices des horreurs
que les superstitions ont fait commettre. I^e
flambeau des connoissances ne doit consumer
que les religions barbares 9 que les mains des
encore s’offrir à cet animal sacré , et s’enfermer avecr
lni ; mais il leur préféroit sa propre femelle, abhorrant
lui-même ce détestable congrès. Les dévotes , suivant
le rapport de Diodore de Sicile, se piié$entpient aussi
nues et dans un état d’orgasme vénérien, au bppnf
Apis. (Biblioth. 1. 1.) Strabpn cite des yèo^ de Pirxdaye,
qui prouvent qu’il y ayoit un véritable accouplement
avec Te bouc sacré ï '
. . . f • .. ■ . '• 1 . f Mendeiis,
Quo salax captas mqritus,
Humanam audet inire fteminàmJ
Les hommes ont aussi fait, à l ’égard dps chèvres,
ce que les femmes sé permettaient envers les boucs,
regardés commeT.e dieu Pan et le principe de la vie.
Les pâtres des chèvres étoiént, à cause de cet acte ,
honorés comme prêtres â Mendès.(U’Hanearvilîe, Re^
cherëh. mot-, tl- 't'\ p. ). Cette étrange idée du fanatisme
superstitieux, règnoit encore au deuxième sièclè
de l ’ère chrétienne ; elle subsistoit avant Moyse, car
«on Lévitique, c; 1 y ^ vers, 7 , défendoit de sacrifier
feux velus, avec lesquels on avoit forniqué. Le peuple
*yrans e t des usurpateurs ont faites p'pur
X’assprvisseroent. Mais, ô mortel, tu dots respecter
sans cesse les fonderaetis de b »orale
et du bonheur des peuples- XI suffit dater
à l'intolérance sou funeste pouvoir, surtout
dans CCS climats wdéjw, e» l’on est regarde
comme W f « ) »’est pas fanatique e t
superstitieux, pans: 1« nord, au contraire^
les religions »’ont que le zèle lè.plus tiede,
3è Dieu révéra lé f e i c . P a n , etlest!smmes israe 1 es
Hauser eut mies devant le W û f ïtfenai. ( ri>'ra
chard,Hiêrti»âï|vp.i6 0 f ft^àj-été.) Tbutes w .
tiennent à te «Ssmegonin indienne P“ * v<f daB‘
s B S f f l T f f » ü t, I , — Ow? te» « M M »
mecques.de, J a f l f f f lp i f e M i
si’Uleut ees actions obscènes. Ainsi les velooms u ont
jÜte'-Wdo&s P pour piincipe la puretudes moeurs.
Toutes M e s db l'Inde ,u ’u‘ contraire ; teh Jen t a exciter
à te g d ié te tie n lè t'iiîe s t iiB grand pteM ijne de ne-pas
travailler à te propagation. P a rue ttu raison ia polygamie
vest, permis«» te chasteté Wtiup«sme S«sye“x
des antique*» qt la s*al«ur
sptte grqyaucn. ftnBmqnt le christianisme pmirrpU-U
s’y établir ? I.es missionnaires assurent q«’w des pins
grapd8 iW w t e «Ui W i ï f f l È î «St Pinvinteblepenchant
déco? peupla?r4 Ja;pp]ygamie« L abbe Moe »
SSwpSW,® i eélibaKaines y spftt ;çoi*vqrts $Le mépris, 1 cause dfi leuï
état de virginité qui les condamne à la stérilité.