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dé pérfectid n ner 15ho m rrte. Ce fonds inépui-*
sable|en recherches importantes et; neuves
encore, appartient sans contredit à l’his taire
naturelle., qui doit enj éclairer la marche*
0eSt ' en vain que l’konmie beat sorti des
bornes dêda Nature j Semblable à l’astre dont
la puissance attire et dirige,les cdmètes même
lès iplusjtéldigriéesf, :elte revendique sans
cesse.ses. droits méconnus* Intelligence, in-^
dustrie’y dominationjtj tout est un don Ide la
Nature» Elle régit. du sceptre de la mort,
l’homme midacieiçi'!j.^lém.ë.raire qui transe
grosse ses: lois» :
; Mous avons ci-devant décrit lé sauvage j
Considérons ici l’homme pelicéiPuissant; do^*
minâteur dé la terre, il s’alimente', il se révêt
de: rés *jdi¥erse& p ro d u c tio n s il Sillonné
l ’Océan $ i l arrache les 'métan^ dcstviacères dp.
globe j tantôt ;il s’enfon oe» dans ses retraites
,prpfondèss ,:Qü biensemblableàlkigle r il fend
a vec légèreAéde: spin des .orages. Ses rega rds
inesttreht la distancé 'et la cou rèé des soleils^
la foudre descend à sa volonté ; son bras élève
et aplanit lèsilmorilagnéfe; d’airain mugit à
son cdmmaMeîMent'j le tonnerre que. pétrit
sa main déchire les entrailles des rochers.
Il opposeûci des digues à l’Océan en fureur ;
à sa voix mille palais dorés présentent leurs
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