gue. Nous pènsopsen vain, selon la- Natu re£
nous parlops inutilement d’après les règles,
de la' morale et. les; saines .eprinoiissances i la
çoutumemous entraîne et dirigé toutes nos*
actions.■*■**j j î i u ÿ " n nq ste'pf*
, ; .Dans nos rapports sympathiques avec le&
autres.ietr.es y rapports transmis .par?nos .sens?'
il;, en. est quirsont i nniverseki vue. et
l ’ouïe sont les! sens qui nous' oflrenb le plus
grand nombre de ces ; occasions car ils sont
les plus susceptibles de se tromper. Le toucher.)
le. goût, et -l’odorat ptau) contrairej
exigeant le,contact immédiat*dés- corps ; nous
présentent moins dé sujets d’imifatinnsisym-
palhiquesi(PeS) jderniersIsm&nés s’en] laissent
guère imposer qUe pars la préten tion -.encore
la reetifient-nt-ils > bientôt,, sh l’oh j i faitda
moindre remarque jg c’est i’ettipire dei l’imagination
qüi. opète jtout, :I*es iniaginations
yiyes, et puissantes? gou verneut ieelks cjui
^opt foibles eb passives, b EU^rdeyiennertl
çonsonnantes. entr’elles. AinsideSnCordes de
deux, luths accordés^ b vibrent àil’unisson,
quoiquei 'l’en ine;douche , qnlunei>d’entre
elles (i). A mçsure ique le système nerveux
a fa y jiv r fa j;P#pJtter6b,>pîiilps, fcfrr'ierWaà« et te su*
y ' rapporte.^ue,TbQmâsJCampapella- soùffroift la
k : plus> d®] 'sb8e#ptibilhé^ëômîne;';chèks lès
enïansî/dekïfont tneiléÿdes vieillards ^ 'à? inb*
sure-' quë$ 0 icopstitiitioli * est plus; ;deîiëâié\
les effets « de fl bimitatiônf > GdeP d£a1 sÿrripà^
tliic sont plus ^Ifs y plus' énelrgiquèSét pîüs
proinptsuca oa fifîfii .èrgèu onj-jm
~ iilloexi^té donc uhepvérUlibïèfä&Mrfoil&ffiöj'i
des | ësptits^èntërkax; ÿ J lotisMR$) ■ sef mettent
en cbntaçt^ et: Ijé j e ‘dirai mêdié éhbpâkië
du ‘physique*pi bat»mne ait raction^éPérale
entre des individus^' qui les rapproche paf
l^nalogie ^i qki : fos> égâlis es * pâr} ] ttnè^ cbmbb^
•iiaiéon mutuelledes forcer ƒ par là réparti tibit
uniforme des moeurs*}
n mssançes, deihâbitudes^tei0éîlimë'] étlMdê
Ifeetrique fôu lé^âinri'qâ.'pdéïÉfèiiàl de* ribtid
tspëce «dapS l’état dëSôciété ^telid à1 un "écjui-
libre> péiipëtuit^ l%Offimé;'dè-géniën(|Hi <f
de dréqüefltéP i ‘b dniidèi
Ordinaires|i - perd bièhfot dë-éë^süpëWdri#
pour* descendre>âu niveau des amfeë v b P
gairesrl^esî opibious beligleMëëbu pôlid^uèi
jetéesdans tisköutumekvßönb nation psbnt
des lëvainstquifen font* fer mériter k ihàséb*,
t'rfrktflV ^ril^FapèJâbàlettr , taM qii’ltffis trah it 'éon
^üppliôëÿ èkzrd’àPtrés^éî^onnes ^tlcêttë
séialü peasëe t^s fait tomber, .eirsjfacbpë.