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coiijiirée, et bientôt s’enrichit de toutes, ses
dépouilles. ' Ce n’est que par de profonds
scntimens | par un respect sacré et religieux
que se fondent les.lois des empires. Malheur
aux législateurs Vulgaires q u i, remplis de
petites tués ou de leurs vils intérêts, Veulent
gouverner les hommes ; leur chuMJeét assurée,
II faut savoir s’élever dignement à la
hauteur de son sujef. Pour conduire le Vulgaire,
i l faut avoir une ame supérieure ; et
tout homme qui passe sa vie entièrement
occupé de petits objets, est à coup sûr dépourvu
de génie. Ames fortes et > igoureuses
qui, planant dans une sphèrcifaste, élevée,
contemplez la tourbe des mortels ! Vous
dont le regard plus perçant que celui de
l’aigle , embrasse l’immensité de l’espace;
vous qui ne comprimez point vos idées dans
un cercle étroit! et mesquin , c’est à vous
qu’il appartient de tenir le gouvernail de§
empires, et non pas à de ridicules brouillons
qui, sans caractère, sans instruction ,
bouffis de leur suffisante , tuméfiés d’un, sot
orgueil, ne veulent que trop souvent se partager
les dépouilles et le sang des hommes.
Puissent les nations éviter, encore èes esprits
superficiels^, évaporés,, qui se perdent en
systèmes imaginaires, et qui pensent remuer
A
le globe aveè la pointe d’une aiguille. La
science et la vertu sont deux titres pour
obtenir et pour coUservér la confiance des
hommes! Maîtres des peuples, ètés-Vous .vert
u e u x et grands, non pas au dire des adulateurs,
mais par l’acclamation unïverselîeTl
vous récrierez dans la mémoire dé la posté-»
rïtéyet'svoû^ coovriréz de gloire et de félicité
votie propre :le'èbeur humai«
sera le temple de votre rehbihmée.* |
Léâ •MÆffiëiPis et | ék habitudes des: peuple#
fournirent indices de * leur (i
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rayons tûèwacîëméêyilk'feoM îûoinït-snfecep-
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ou l’ëffeien est môirtsdurablè^et plus rapide;
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