reùâes les nations qui ne cultivent pas les
beaux arts ! elles resteront toujours au des»
Sous de la perfectibilité» pf ' -
Comment l’homme pourroit-il se soustraire
au travail ? Bon existence n’est-elle
pas tellement ordonnée que l’ennui, le re»
doutable ennui vient venger cette loi de la
Nature lorsqu’elle est méconnue, Puisque
nous avons des besoins , il faut bien que
nous travaillions ; nul être anime n’en est
exempt qu’à la mort. Les nations.' les. plus
uisivès sont aussi les plus corrompues, et
par cela même les plus esclaves et les plus,
misérables. Chez elles seules s’élèvent ces
attentats qui font frémir la Nature, Cf qui
couvrent la terre du crêpe de la désolation.
Elles s’enfoncent dans la barbarie par le
chemin de l’immoralité. L’obligation du travail
est même an moyen de restaurer les
moeurs ides peuples. Par l’exercioe des muscles,
on ôte une partie de la prépondérance
que le système nerveux acquiert dans l’indolence
et le repos. La sensibilités’exaspérant
dans ce dernier état, use bientôt l’homme
par des sensations trop vives , le blase et lu
déprave ensuite.
C’est de la convenance exacte? des formes;
avec la destination naturelle qu’elles doivent