négligés dans lés anciennes républiques
grecques et romaine, les ont élevées au plus
haut point de perfection et de prospérité
sociales, fin sublime de tous les travaux
fies sciences et des arts.
S E C T I O N I I .
Des principes physiques de la perfectibilité
morale du genre humain.
Tableau de Vliomme civilisé. — De la beauté
des formes , et de leurs rapports avec la
perfection, — Des fondemens, physiques
de la perfectibilité. — De la sensibilité
nerveuse, —^ Dès §éntimens et des sensa-
fions physiques. — De Vinfliience morale
des climats. — De celle des tempéramens,
; 2— De Vactivité de f amé y\ de sa force et
de ses passions. — Des rapports des con-
noissarices humâmes avecfes diverses con-
1 tréésv— Dès avantages de la population.
,— De Véducation. -—De Vamourx . considéré
relativement à la perfection morale. -— Des
■ gouverneméns et des lois naturelles. — De
la gradation des Etats politiques. — De
Vamour du bien public. — De la marche
1 de Vesprit humain. — Conclusion.
S i nous retracions l’histbire du castor ou
des abeilles, nous ne pourrions laisser ignorer
Jeur industrie sociale et leur laborieuse