Se trouve au ITartz. On en voit un très - beau
groupe dans la collection du Muséum d’histoire
naturelle.
1a 2
zg. Chaux carbonatée - octo duo d" écimale. E^AI
y c o
( fis* û I ). La variété prismatique , augmentée de
douze faces obliques, disposées six à six autour de
chaque base. Incidence de y sur,/ , i 34d ¿5'2" ;
de y sur y ' , io8d 561 2",
a 5 $
00. Chaux carbonatée acutangle. cA(ïE* B1 D8)
c o £
(fîg- Hz) pl. X X V I . La variété prismatique , dont,
tous les angles solides sont interceptés par des facettes
triangulaires. Incidence de «P sur o 3 iood
53r 3y" ; de ï sur , I2id 11r 16". Valeur del’an^
gle au sommet du triangle «r, 56d 14' 56".
J’ai un groupe de cristaux de cette variété sin-*
gulière, qui m’a été donné par le cit. Dré. Ils sont
blanchâtres , translucides, et ont environ 8 milli-.
inêtres ou 3 lignes f d’épaisseur.
Si lés triangles «T, <P , J'1, , etc., se prolongeoient
jusqu’à faire disparoître les pans et les bases du
prisme, il en résulteroit un dodécaèdre composé
de deux pyramides droites très *■. alongées, dans
que j ai trouvé par des mesures prises sur les cristaux du
muséum que cite ce savant,
lequel l’angle j au sommet de chaque triangle, ne
aeroit que de I2d z j ' 1 z" (1).
a I
3i. Chaux carbonatée péridodécaèdre. 1
c u o
( I ) Si l’on désigne , en général, par x le nombre d’arêtes
de molécules soustraites le long de D ( fig. 1 ) , et par y
celui de molécules soustraites le long de B , la théorie fait
voir que parmi les différens nombres n de rangées qui
peuvent avoir lieu pour un rapport déterminé entre x et
y , il y en aura toujours un qui produira un dodécaèdre
. Lbipyramidal.
Ge nombre est donné par la formule n— x y •#
■ » • y ' J - l ! | ’
O r , dans le cas présent, r- d’ou il suit que n —
Ce résultat ne peut être vérifié , avec une précision suffisante,
par la mesure de l’incidence de & sur , qui varie
très-peu , à mesure que l’on fait varier n elle-même , lorsque
x et y différent entre eux , comme ici , de plusieurs
unités. Mais l’incidence de £ sur o varie plus sensiblement,
et les angles des triangles ^ ont une variation encore plus
marquée. Ainsi, dans l’hypothe1 se de —y = -| , on trouve ,
pour l’incidence de ¿'sur ¿4 i2 id 2g1 16" , lequel angle est
seulement plus fort de 18' 16" , que celui qui répond au
yappott L Mais on a pour l’incidence de ¿“sur o , io2d 121
5g" , quantité qui diffère de i d 19' 22" , de celle qui dépend
du rapport 7 » et f Qn a Pour l’angle aigu du triangle
¿4 4©d l 5' 22" , dont la différence 4d o1 26" avec l’angle
cité plus h a tit, est encore plus appréciable. Voyez,
pour la démonstration de la formule , la partie géométriq
u e , t. I , à l’article des décroissement intermédiaires.