f h 3f k 3 etc., et en même temps par Taxe. Il en
résultera six tétraèdres, dont l’un, par exemple,
aura pour faces, d’une part, les triangles hfk3 hmk,
et de l’autre, ceux qui ont pour côtés extérieurs f h ,
hm , f k , km 3 avec un côté commun intérieur ,
qui est l’axe du dodécaèdre. ;
Si nous supprimons maintenant les autres tétraèdres,
tels que s hmk ( fg. 2), etc., interceptés par les
premières divisions, le dodécaèdre (fig. 1) se trouvera
uniquement composé de tétraèdres semblables
à ceux que nous avons obtenus en second lieu,
et qui représenteront les molécules intégrantes. Par
une suite nécessaire, il y aura dans rintérieur du
cristal des vacuoles produits par l’absence des tétraèdres
semblables à shmk (fig. 2) ,* mais les molécules
soustractives seront toujours, au moins équiva-
lemment, des rhomboïdes que l’on se représentera
, en complétant, par la pensée, les petits dodécaèdres
qui en forment la partie solide; et ainsi
la structure se trouve ramenée au résultat que
nous avons dit être général pour toutes les espèces
de formes primitives. ( Voyez t. I , p. <fi> ).
Dans cette même hypothèse , les cristaux de quartz,
outre les coupes parallèles aux faces h f k , Imk 3
gmh , etc. (fig. 1 ), qui correspondent aux rhombes
du noyau, en admettront d’autres qui seront parallèles
aux faces intermédiaires k f l3 g fh 3 etc. (1),
(1) Dans ce cas , les faces dont il s'agit ne sont plus comet
d’autres encore dans le sens des plans verticaux
fgm, f k m 3f lm , etc. Mais les unes et les
autres de ces dernières coupes seront moins nettes
et moins faciles à obtenir que les premières. La
raison en est que les joints situés aux endroits de
ces mêmes coupes ne sont pas exactement sûr
un même plan, ainsi que le démontre la théorie;
mais nous nous bornons à indiquer ici ce résultat,
qui a été développé dans la partie géométrique (1).
D’ailleurs , si l’on s’en tient aux molécules soustractives
, dont la considération suffit pour concevoir
les effets des décroissemens, tout se simplifie
et rentre dans les lois des cristallisations ordinaires.
I
2. 2.
2. Quartz-hyalin prisme'. ( fig. 5 )• De_
Lisie, t. I I , p. 71 et suiv. ; var. 1 jusqu’à 9
inclusivement. Incidence de P surr, ou de z sur
r}, 141a 4or.
Les pans du prisme sont souvent sillonnés par
des stries perpendiculaires aux arêtes longitudinales
, qui indiquent les bords des lames décroissantes
d’où résulte le même prisme. Souvent aussi
les faces des pyramides sont chargées de saillies
posées de pointes de rhomboïdes , comme dans la supposition
que nous avons faite d’abord ; elles sont, au contraire,
des assemblages de facettes triangulaires , mais leur inclinaison
reste la même.
(1) Voyez 1.1, l’article du dodécaèdre bipyramidal.