
suve , de Pompeia, etc., Faujas 3 minéralogie des
volcans , p. 2o5. Grenats d’un blanc mat, demi-
transparens, à 24 facettes, de Born, t. /, p. 436.
Leucite ou grenat blanc , journ. des mines, N°. 27,
p. 177 et suiv. Leueit, Emmerling, t. /, p. 53.
Grenats blancs, Seiagr., 1 .1 , p. 276. Grenatite ,
leucite, JDaubenton, 8. La leucite, Brochant
, 1 .1 , p. 188 (1).
Caractère essentiel. Divisible parallèlement aux
faces d’un cube, et en même temps à celles d’un
dodécaèdre rhomboïdal (2).
Caract. phjs. Pesant.' spécif., 2,4684.
Dureté. Rayant difficilement le verre.
Réfraction, simple.
Caract. géom. Forme primitive. Le cube (fg- 61)
pl. XLV^I, divisible diagonalement suivant des
plans qui passent par les arêtes et par le centre;
Les joints naturels sont sensibles par le chatoye-
(1) M. Kirwan indique le nom de V^èsuvian , qui est
celui que Werner a donné à notre idocrase , comme synonyme
de white gai’net (grenat blanc)- La description qu’il
fait de la substance à laquelle il applique ces deux dénominations
, convient à l’amplïigène , excepté que , selon lu i, cette
substance se présente sous la forme de cristaux à 12 , 18 ,
24, 36 ou même 56 faces. J’ai observé une très-grande quantité
d’ampTiigènes de différens pays , dont aucun n’avoit ni
plus ni moins de 24 faces. Kirwan , 1.1 , p. 285.
(2) C ’est de cette double division mécanique qu’a été
tiré Je nom d’amphigène.
ment,
ment, à une lumière un peu Vive. Ceux qui ont
lieu parallèlement aux faces du cube s’aperçoivent
plus aisément que les autres.
Molécule intégr. Tétraèdre irrégulier.
Molécule soustractive. Le cube.
Cassure, raboteuse, quelquefois légèrement ondulée
, avec Un certain luisant.
Cûraçt. chim. Infusible au ehalumeaü.
Analyse par Klaproth.
Silice . . . . . . . . . . . . . . 53 a 54*
Alumine ,24 à 25i
Potasse ...... 20 à 22.
1 Caractères distinctifs. 1°. Entre l’amphigène et
le grenat trapézoïdal. Celui-ci raye le quartz;
l’amphigène raye à peine le verre. La pesanteur
| spécifique du grenat est plus grande, dans le rapport
d’environ 3 à 2. Il est fusible au chalumeau ,
et non pas l’amphigène. Jusqu’ici, tous les grenats
observés aVoient des couleurs plus ou moins
relevées. Les amphigènes n’ont qu’une teinte blanchâtre
ou d’un jaune sale. 2°. Entre l’amphigène
1 et l’analcime trapézoïdal. Celui-ci n’offre point de
lames parallèles aux faces d’un dodécaèdre rhomboïdal
, comme dans l’amphigène. Il est fusible ;
au chalumeau, en verre transparent ; l’amphigène»
i résiste à la fusion.
T om e - IL