34 T R A I T É
simple , par la méthode que nous avons indiquée
( 80 ) , à l’article des décroissemens intermédiaires.
199. Dans les cristaux où les faces terminales
sont nettes , et ont une certaine étendue, le
parallélisme des lignes e x , e i, est facile à recon-
noître, en sorte qu’il suffit de savoir que ces faces
appartiennent au rhomboïde inverse , pour en
conclure que le noyau fictif est semblable à
ce rhomboïde. Si de plus on a trouvé les valeurs
de x et de y , on aura facilement celle de
n , en se servant de l’analogie g1 : p} : g *.
V 'ï J Ê Ê îÿ +w
Car faisant a* = 9, g1 = 3 , x = 2, y = 1
g' = y 3 , pr = V 5. __ __
On aura y/3 : y/b : : \ /3 :
(
a ._ 1
— — ^ J = 4* Et divisant tout
par 4 , = 1 5 doil lon tire’ 4 4n
n' = 4 n1 — 4« + 1 , et n = 1 , après quoil’on,
trouvera, comme ci-dessus, N = 3.
On pourra alors calculer l’incidence mutuelle
des faces dhlkg, ohlnp , d’après le rapport donné
par les formules ordinaires ( 46 ) , pour les décroissemens
sur les bords. Ainsi, en général, le
si nus de la moitié de l’incidence proposée sera au
O r , dans le cas particulier dont il s’a g it,
N = 3 , <za = 36, g a = 3.
Donc sin. : eos. : : V T f )* 36 —j— 4 : 12 ::
y/zQ : V 27 s rapport qui est le même que celui
auquel conduit la formule des décroissemens
intermédiaires, composée des expressions de bo
et on (Jig26) pl. XI. (V o y e z^ ).
Quant à l’incidence de dhlkg sur cxzie (gfig.
116) , nous l’avons déterminée plus haut (198 ),
à l’aide de la même méthode.
200. Examinons s’il est possible 'que le noyau
fictif soit semblable au véritable. Soit toujours
& = 2', y — Í. Si nous continuons de prendre
la chaux carbonatée pour exemple, nous aurons
g ' = g = V 3 , e tpf = p = y/2.
Donc la proportion g r : pV :: g. : . . . .
ï 4 - f ë ‘ deviendra , :
V3 :/■(SJTT.
Don0 ( Í 3 í ) + 1 = 2- D’où l’on tîren = |.
Substituant à la place de n , de .z et de y leurs
valeurs, dan? l’équation N = - y , elle denxy—
y 3
C a