
 
		cond  membre , g 2  x 2  -4- 2g* x   g ¥  -f- p %x 2  
 '¿gp2 x  -\-g'2 p2 <==  ¿¡g'p2  4g *x2 5  d’où  l’on  tire 
 carrés,  a:* ,  g '+ z g y  -Vg' P 
 b g 2—p\ )x -\ 9g*— 6g 2 p '+ p 
 g '—^ g y ,  g ^ z g y + g *  p*. 
 Z g 2—p2 I ; et multipliant  les 
 />■+ 
 deux termes de^-^™-Ç par "5g 2—p2, puis réduisant  
 x 
 / zg z-\-zgp2\  g 6  -f-  2g y  +   g 2  p* 
 V  b g '~ p l   )   9g* —   6 g y   - h # 
 ( g '— z g y + y   
 \ 9# 
 g'~\~gP"\  ¿ . . J g ' 
 :4 g7 î  extrayant  les  racines 
 x- 
 ± 2g\ bg2—p2 ,  d’où  l’on  tire 
 3*- X 
 3 j r - ?  (  ( r  + p -  ) ±   ( a r  -  sp’ ) )• 
 Si  dans  le  second  membre  on  prend  le  signe  
 positif,  on  trouve  x—g ,  solution  relative  à une  
 autre  question ,  dans laquelle  on  supposeroit que  
 l’angle  hpl fut  le  supplément  de  l’angle  phn. Car  
 alors  il  est  bien  évident  que  pl  se  confond  avec  
 pli,  en  sorte  que  ab  devient  égale  à  ait  ou  à g.  
 Pour  satisfaire  à la question présente ,  il  faut donc  
 prendre  x / PoT p~  le  ~ v 
 signe  négatif,  ce  qui  donne    — g ~ê 
 J)g2—p2 Nous aurons donc rk. rs  : : ab : ap : : 
 g 
 :p  ::  gCSp'-g^'-pCSg'—p')- 
 258. Maintenant soient  g1  et p f  les  demi-diagonales  
 de  la  molécule,  lesquelles  correspondent  à  
 ab  et  ap.  Soit N  le nombre de  p r  contenues dans  
 rs ,  et Nf  le  nombre  de g1  contenues  dans rk ;  Nf  
 représentera aussi  le nombre de  p'  contenues dans  
 cr.  Soit  n  le  nombre  d’arêtes  de  molécule  contenues  
 dans ku, et  n1 celui d’arêtes contenues dans  
 us.  Il  est  aisé de  voir  que  ce  dernier  nombre  n'  
 est  la moitié  du  nombre de p r contenues  dans es, 
 ou dans  rs— cr.  Donc  n t=       Mais  à  causé 
 2 
 de cu — us,  le nombre  d’arêtes contenues  dans eu 
 aura  aussi  pour  express• ionN  — N'  -JpD. e p,l us-,   ,le 2i 
 nombre  d’arêtes  contenues^  dans  ck  est  égal  au  
 nombre de p' contenues dans cr,  c’est-à-dire, qu’il  
 est égal  à Nr ; donc, ajoutant  cette dernière  quanm 
 m  S = Ç  ^  on  aura  „ = Ï Z ± '  +  N,= Ï Ï± E -   
 2  2  I  2, 
 Donc  n1  *.  n  : : N— Nr  : N-{-Nf. 
 Mais rk i rs : : ab \ ap  : :g {bp2-—g 2)  : p { Zg2—pl)  
 : :  : p1 N ;  et parce que p  : g : : p 1  : g1 ; Zp2—g 2 
 *.  Zg2—p2  *.  :  Nr  : N. 
 Donc  N—Nr  : N -|-Nr  :  : Zg2 — p2—  {'bp1— g 2 )  
 : Zg2— {bp2—g 2') :  :  zg2— zp2  : g 2-\-p2.  Donc  
 aussi  n'  :  n  :  :  zg2— zp2 : g 2~\-p2. 
 On  voit  par  là  que  le  problème  sera  toujours  
 T ome  II.  II