ait Iz : iz : : /\/I4 : 1 '» d’ôù il suit que l’angle Hz
= i 4 d Ô7r ; 3°. que le sinus de la moitié de l’inclinaison
de nlgh sur mlgr soit au cosinus comme
V 29 ’• 4/^ 3 ce qui donne I24d 34’ pour l’incli-
naison totale.
23s. Dans les fbrmes secondaires, il y a des
facettes également inclinées en sens contraire , qui
proviennent de différentes lois de décroissement,
et c’est une suite de la propriété qu’a la ligne Iz
de faire un angle droit avec l’arête iz. Nous nous
bornerons presque à démontrer les résultats qui
concernent ce point de-théorie.
AMPHIBOLE DODÉCAÈDRE (Jîg. 144).
• SfeA U- •* ^ X ïT 1 É’ ''•' 4'
233. Le signe rapporté au noyau (Jîg- 14$) s^st
1 l i
M XGX P B T, A . A . . :
M x P r * L’arête ¿a la même inclinaison en sens
contraire que la diagonale oblique de Pj Pour le
prouver, soit ilgz (Jîg. 146 ) le même quadrilatère
que (Jîg. 143) 5 et.bidle triangle mensurateur re-
V2
, ' . 'U
latif au décroissement B (Jîg. 14Ô), considéré
dans le sens de ce même plan ilgz. Nous aurons ,
par l’hypothèse, de : db : : ziz : i l , ou \di : db
: : iz : il. Menons bc perpendiculaire sur iz $ le
triangle c a sera semblable aii triangle zli ; donc
cd : db : t iz \ il. Donc en comparant les deux pro*
portions , cd—J d i ,* donc ' cd= c i $ donc l’arête ib
est inclinée en sens contraire de la même quantité
que bd ou il, qui lui est parallèle; or ib répond
à l’arête i (fg - 144)5 èt il ( Jîg.i/\6 ) répond à la
diagonale oblique de P (Jîg. I44); donc, etc.
a34- La face P sera toujours un véritable rhombe;
car les arêtes h , A’ sont nécessairement parallèles
aux arêtes g, gr qui sont les lignes de départ du
décroissement, et par conséquent elles sont aussi
parallèles aux arêtes t1, t. Les faces r , r sont de
même des rhombes, ou du moins on peut toujours
les ramener à cette figure , en donnant au
cristal des dimensions convenables. Car nous avons
déjà les arêtes h , h1 parallèles à g , gr. De plus, il
est évident que l’arête i est parallèle aux arêtes
f , f 1, puisque le plan x est lui-même parallèle à
celui qui passe par les arêtes i , u. Mais les deux
rhombes r , r , qui sont semblables entre eux, ne
le sont pas au rhombe P.
AMPHIBOLE ÉQUIDIFFÉRENT , (Jîg. 14 7 .)
I 1 m
235^ . Le s•i gne du sommet supér.i eur est E^ B 5
celui du prisme est ^ ^ 5 et celui du sommet
f
inférieur est a P.
t J P