m e. E s p è c e .
Rubinus vividè rubro colore; rubinus orientalis,
W a lle r y i. I , p . 247» Topazius flayus, topazius
orientalis, ib id ., p . a5i , a. Gemma pellucidissima,
duritie tertia , colore cæruleo, in igne fugaci, sa-
phirus, ib id . , p . 248. Rubis d’Orient, d e L i s i e ,
t. I I , p . 212.. Saphir, E m m e r lin g , t. /, p . 67. Saphir,
Sciagr., t. I , p . 259. Pierre orientale, D a u b e n t o n ,
ta b l ., p . 7. Oriental rubis; oriental topaz; oriental
saphire, K i rw a n , t. I , p . 2 5 o e t su io . Le saphir,
B r o c h a n t, 1 . 1 , p . 207.
Caractère essentiel. Pesanteur spécifique, d’environ
4 ; joints naturels très-sensibles perpendiculaires
à Taxe des cristaux.
Caract. phys. Pesant, spécifi, 3,9911.. 4,2833.
Dureté. Rayant toutes les autres substances terreuses.
Réfraction, unique.
Cassure, longitudinale, conchoïde, éclatante.
Car. géom. Forme primitive. Prisme hexaèdre
régulier (j%- 19)5 p i XLII. Les coupes parallèles
aux bases sont seules sensibles. La position des pans
n’est que présumée (i).
(1) Il se pourvoit que cette forme primitive que j’assigne
Molécule
D E M I N É R A L O G I E . 481
Molécule intégr. Prisme triangulaire équilatéral
Cfig' 20) (1)/
Caract. chim. Infusible. La variété bleue, exposée
à un feu actif, perd sa couleur.
Analyse par Klaproth.
Alumine ............. . 98.
F e r . . . ............ .......................... 2.
100.
Caract. distinctifs. t°. Entre la télésie et la cy-
mophane. La première se divise nettement dans un
sens parallèle à la base de son prisme hexaèdre;
dans l’autre, les coupes les plus nettes sont parallèles
à deux faces latérales opposées. La. réfraction
de la télésie est simple ; celle de la cymophane est
double. 20. Entre la télésie rouge taillée et le spinelle.
La première est plus dure s et a une pesanteur
spécifique plus grande, dans le rapport d’environ
20 à 19. 3°. Entre la même de couleur jaune et la
topaze. Celle-ci a la double réfraction; la télésie
l’a simple; elle est plus dure, plus pesante, dans le
à la télésie fut simplement hypothétique , et que les joints
nécessaires pour compléter la structure , eussent des positions
obliques à l’axe. Mais je n’ai encore , à cet égard,
que de légères indications, que je me propose de vérifier.
Je reviendrai sur ce sujet en comparant la télésie avec le
corindon, à l’article de cette dernière substance.
(1) La hauteur A/du triangle de la base est à la hauteur
A a du prisme comme 2 à \^3o.
T ome II. H h