( var. 2 ) se divisent parallèlement à leurs arêtes
verticales, et ceux d’harmotome parallèlement à
leurs pans. Les incidences respectives des faces du
sommet sont de I 24d i z f dans le zircon, et de
I 2 i d 57' dans l’harmotome ; le zircon est iniùsible,
et l’harmotome facile à fondre. 5°. Entre le zircon
taille et les autres pierres appelées gemmes. Il en
différé seùsiblement par la force de sa double ré-
frnriion.
V A R I É T E S .
F O R M E S.
*
Déterminables.
1. Zircon primitif. P ( f g . 9 ). Incidence des'
faces d’une même pyramide qui sé réunissent Sur
chaque arête oblique B , i2/{d 12' ; des faces de
chaque pyramide sur celles qui leur sont adjacentes
dans l’autre pyramide, 82d 5o\ Valeur de l’angle'
plan A , y3d 44r.JiSe trouve en France, 1 près la
ville du Puy.
Si l’on suppose queToctaèdre soit divïsdd’àbordî
parallèlement à ses huit faces, et que l’on fasse
passer, les coupes, pour plus grande sirtiplicité
par les lignes rx , zx , etc. ( /¡g. 11 ) , qui partagent
en deux moitiés les bords de l’octàèdre , la
division donnera six octaèdres partiels, dont les
sommets se confondront avec ceux du solide pri-
D E M I N É R A L O G I E . 469
mitif, et huit tétraèdres interposés entre les octaèdres
(1).
Concevons maintenant d’autres coupes dirigées
suivant les apothèmes Az , uz de l’octaèdre total,
et qui passent par le centre. Ces coupes diviseront
chaque octaèdre partiel en deux solides
hexaèdres très-irréguliers, et chaque tétraèdre en
deux nouveaux tétraèdres. C’est ce que l’on comprendra
, en considérant, par exemple, l’effet de
la coupe qüi passe par az , à l’égard du tétraèdre
dont elle soudivise la face extérieure en deux
moitiés : car ce tétraèdre pouvant être regarde
Comme une pyramide triangulaire qui a pour base
le triangle rxz , et dont le sommet se confond avec
le centré de l’octaèdre total, la coupe qui passe
par ce sommet et en même temps par le milieu
de la base , doit diviser la pyramide elle-même en
deux parties égales , dont chacune sera aussi un
tétraèdre.
O r , si l’octaèdre total n’étoit divisible que parallèlement
à ses faces, comme celui de la chaux
fluatée, on auroit déjà un motif de vraisemblance
pour exclure les octaèdres partiels, et préférer les
tétraèdres , comme rëprésentant les molécules intégrantes
; mais dans le cas présent, où la sôu-
(1) On peut appliquer ici ce que nous avons dit au sujet
de lai division mécanique de l’octaèdre régulier, à l’article
d e là cliaux fluatée , p. 247*- « . :j.tj