iBo HISTOIRE FATUREEEB
dans la comparaison de nos extrémités* Les
rapports organiques avec cette famille,l’habitation
originelle entre les tropiques et sous
les mêmes deux, au sein des mêmes forêts,»
l’ombre des palmiers, nous rapprochent par
l ’analogie. La grande prépondérance de l ’organe
cérébral du sauvage, même sur celui
des animaux, â’accrüît encore par l’usago
continuel âe Fétat social, et rend, indépen-
pendamment des autres causes, Faccouche-
ment plus laborieux, sur-fdüt au nord, à
l ’être qui à goûté le fruit de l’arbre de la
science (ï). Enfin l’îiistdriqne süccint des
facultés physiques et morales de la famille
des singes, comparée ati genre humain,
pourroit fournir une esquisse pittoresque
et intéressante, qui répandrbit de nouveaux
rayons de lumière sur notre existence
agreste et primitive.
I l n’est güètes que trois espèces de
singes qui se rapprochent le plus dés dernières
races du genre humain naturellement
les plus déformées * telles que les quimos,
les lapons , les eskimaux f les hoLten**
tots^ été.
( i j Voyez irtOîi Êss’ai cfliist. liât. èt phÿsiolog. sur b
perfectibil. hum. Paris'} an 8 1 iiîAfi.