A U X M ANES
de l’immortel
»E O K G E - I .O B I f iv i *C X B a :C DE BUFFON,
le plus éloquent
des Naturalistes ;
philosophe profond, '
37ornement de son siècle , et la gloire de sa patrie j
qui sut élever à la Nature,
cette.étude sacrée des âmes sensibles,
ïin monument magnifique, et durable ,
digne de son sublime génie.
T oiiïK -Josïïn „Vir ï*
comme f f “ "™ " *
tance envers le premier de ses maîtres.
r"" 11 . ... . "'i " .s^rsaaKi
A VA N T - P R O P O S
N^CE SUA IRE.
O ette tentative, n’est pas le fruit précoce
d’un , mQUiputàué 9 «quoiqu’elle soit
susceptible d’être beaucoup perfectionnée,
si le public ^’accueille r et que je
l’aip ? mûrie pendant plusieurs années ,
opjla roulant^cqntinuellement, dans ma
pensée* — Qtyoxt, inqui? 9. erit pretium
H| quo jiuilum majus ç($t, nosse
Naturam [i).
On a fait de gros vqlumes sur des
matières minutieuses , imperceptibles j
je présente un petit ouvrage sur un objet
immçqse * sur I’hqmbïe*,
• Quel que soit jçsort qu’il éprouve, il
ne peut :sef^0n£Qpdre dans, ,)a foule innombrable
des brochures vulgaires qu’on
yçjt naître^ pireuler etdisparpître chaque
jour.
Je n’ai pas, craint de m’écartçr quel-
(i) .3eiteca, natural. quaosl, liv* yi , ç, it.