yulsionnaires érotiques de: S. Médard, des
Ursulines d e Loudun, des Cadières du père
Girard, etc? Souvent même l’amour punit
de mort pelai qui s’obstine à repousser ce
besoin naturel (i)>, comme celui qui en fait
abus.
Ces affections, quoiqu’il én èxiste cependant plusieurs
exemples.!En général Ips maladies nerveuses se corn-*
niuniquentpar une contagion qui n’est qu’une sympathie
d’individu à individu. Ce t effet peut;être comparé
à deux cordes tendues à l’unisson et voisines entr’ellesy
si l’on fait vibrer ‘ une d’elles l’autre vibre et oscille
bientôt aussi.
(ï) C’est ainsi qùe'dâns là Gerièsfe, qui parle toujours*
suivant le langage delà nature y Rachel dit à Jacob ::
D a libérés j alioquin morinr. Dans Les pays chauds des
tropiques, la passion amoureuse devient* réellement
mie fureur , tandis qufe souciés'climats gîacH des polès,
elle est à peine4 an® fÿOîdê^alarityrle! On a vu une’
fouie d’êXeinples de personnes mortes dans T’untônfdè'S
Sexes pat mn’Oxéës de passion ; on ft£‘ mémé ObseiVé
parmi des moucherons j de%. abeilles nilîës1 été; Dés*
grenouilles dtf ébpülation Hersé’ jias, ne djgËp
têtént pas, qïüjiqn’dn Iéür c o u p e D e l papillons
cherchent èiicore à s’accoupler quoiqu’on leur ait
arraché la tête ët quMîs soient empaléspariune épingle.’
Qn en a remarffiié d’aùtrès qui chérdhoient à fécondèr’
leurs femelles niortésV’ Ainsi la reprodüfction est*d’une
indispènsable tiêb'ëssitê rjtôur tout animal, ou pltftôt
pour tout corps organisé.
| Chez lqs .femmes, il semble que toutes les
affections aboutissent à Vutérus ; que toutes:
les pensées, s’y répercutent, que cet organe
soit enfin le point central. de la vie de ce
se^:e ; et nous n’en serons, point surpris si
nous considérons que: toutes les parties de
Fecoiiomic ; animale ont des. dépendances
nniversellesayec l ’organe de fa générations
Aussi l’état de mariage: es>t le plus naturel
de tous ceux qni conviennent aux femmes^
il dissipe; toutesles maladies dont elles deviennent
les victime^ la maternité est, non
seulement pour elles, le plus t doux des de^
ypirs., ; mais. encore le plus sain. et le • plus
heureux dès* états.
I l y a d'és bornes naturel lés qui limite n t
l’accroissement de l’homme (f^^dè même quq
dans tous les êtres organiques ^ quoiqu’ils
varient en raisqn dés alinnuisét çle riniluenco,
& l’atmosphère^ ainsi, la durée de la croissance
dqa mantmife^es q s t, d’après lq règle
de, Bulfon., la septième partie de l’existence;
totale. >Celj[é|oi yOpii ne toe pàfoit aucune**
ment plus tourte ^aujourd’hui que celle
' ;(i) .ÇaRsis incrément
tum çorpopis animalis , iimitantibus j Hall,