sidérations , que chacune des souches du
genre humain a ses caractères particuliers
et fondamentaux. Ces diverses branches de
^’humanité ne peuvent peint être maintenant
rapportées à une même racine, et chacune
d’elles conserve son type organique indépendamment
des climats et des alimens.
Maliens pourtant pas en conclure que
ces de rnie rsn’ont aucune influence sur
l ’homme > nous nous tromperions beaucoup ;
mais lepr puissance n’étant que superficielle*
nous n’en éprouvons que des modifications
plus QU moins profondes , qui ne sont jamais
ineffaçables, ainsi que les caractères propres.
£*ïqS variations individuelles de couleur sont
encore moins tenaces, elles dépendent du
gçn$e de vie, Eorster prétend que les alimens
végétaux blanchissent le teint, au fieu que
l’usage de la cbameotore et brunit là peau.
)iBmarqnc îhe î^roit fondée,,ainsi que
celle, de Jfirwles, qui assure que lès animaux;
domestiquer Ftyant en plein air conservant
la couleur de-fours pères i ainsiyFo n Va perçoit
que de petites causés apportent une
foule de variations dans l’habitude seulement
extérieure dés corps animas.
i°. L ’action mécanique de la chaleur
est sur-tout très-remarquable dans ses effets