ficielles, qui seroient tout au plus. individuelles.
Les races humaines ne diffèrent point
entre elles parla seule superficie, taais encore
par les parties les plus radicales et les
plus fixes de leur organisation,soit osseuse (1),
soit sanguine (2) et humorale , soit nerveuse
(5) et cérébrale v(4J , etc:, indépen- *2 4
. (1) Pour la forme* du crâne ; voyez Camper, Différ.
dés traits du visage, planches I et II. Blümenbach,
Decad. cranior. divers, gen. 1790, iu-4 > Gotfing.
Pdw. Sandifort, mus. t. 1 , à la fin.
(2) Ils ont lë sang noirâtre ; Jourri. de physiq. iy^ë.
Mechel, acadi Bërl. t. 9. L e c a t, Co.ul. de péà-u, ibid.
Towns, Philos, trans. t. 1.0, p. 3g8; ce qu’on attribue à
l ’abondance du fer précipité dans le réseau muqueux
par l’acide phosphorique ; voyez K an t, Philos, für die
-vvelt5 dans Engel, Mag. part. 2 , p. i 5i ; ils ont la bile
noire, selon Barrère, Dissert. p. 4 ; mais on l’a niéj:
Journ. savans, 1742, mai. Hérodote Thalie, n° roi.
L e c a t, P auw , Rech. am. t. 2 , rapportent que leur
sperme est noirâtre ; nié par Meckelj etc., et jadis par
Aristote.
( 3 ) Sommering, Ueber die negers, pag. 5g.
E b e l, Observ. nevrolog. ex anat. comp. j les ho'mmeà
ont- le cerveau plus ou moins grarid dans ëhaque
race. *
(4) Mechel, Acad. Berlin, t. i 3 et t. 9 , a remarqué
que la partie corticale du cerveau du nègre
d u g e n r e h u m a i n .
damment de l’iinménse variété de la forme
de sa périphérie et de ses teintes plus ou
moiiis invariables 0 ). La Nature ne doit
point être bprnfcj elle est libre des chaînes
dans lesquelles notre fbiblesse la cir-
conscrit.
Indépendante des systèmes et des craintes
religieuses, affranchie de la pusillanimité
de notre ame et de nos préjugés, elle développe
ses lois immuables dans l’immensité
de ses combinaisons; et tandis que nous
tenons quelques anneaux; que nous suivons
quelques traces de sa marche immortelle,
la faux impitoyable du tems interrompt
pour toujours le cours de nos recherches.
étoit noirâtre ; voyez aussi L e c a t, et Somme-
ring, etc.
(i) B. d’E. ( E ngel), Essai sur cette question;
Quand et comment l’Amérique a-t-elle été peuplée ?
Amster. 1767, in-4, parle de nations blanches sous
les tropiques , partie-2 , pag. 441 et sq. B ru c e ,
P allas,, etc.
Toute la race mongole a une couleur tannée ,
même en Sibérie. Son angle facial est aussi très-
prononcé ; et quand je vois le profil d’un chinois,
D d â