DU GENRE HUMAIN. l 4 l>
fcvaht, les fesses très - en a rriè re , position
(déterminée par l’assiette de la tête , dont le
trou occipital est placé plus postérieurement
que chez les autres hommes. Cette conformation
particulière (1) leur donne un air
déhanché: et comme éreinté (2). A in si, de
petites.causes en apparence produisent de%
résultats-sensibles et constans.
g N-ous décrirons ici les caractères généraux
Ide chaque race humaine, qu’on peut
diviser principalement en belles et blanches,
en laides ou brunes et noires (5). Les lignées
( 1 ) Daub'enton, Mém. sur la posit. du trou occipital,
acad. scienc, 1,7^ Qo’mmerijig, ibic|. et pissert. de: bas.
encëpliali. Cuvîer. Leçons d’anatôm.; compar. t. L
pâg. up5.
^ ^l^kanPaÉon, ibid. patt. ï , pi, 58, Il semble qu’ils
«oierit moins faits pour marcher drbits, que nous} c’est
une gradation iftsëftsiblë vers les singes, v
-10) ,M^ners > Qrondriss der geschichte der
mensch.lieii.>L®Plg0"v>!sl79^ * iu-8 t édit. 2. On .dira
peut-être que la beauté est relative, et quç quiconque
juge ses cdn^patnbtës est plus porté pour eux que pour
des étrangers^ qUë cbaquè race enfin est belle à ses
yeux. Gett-e-question- rentre dans~celle beau dans
jles arts ; j’en parlerai par la suite. Je me ëontente
d’observer quç les çalmouks, préfèrent les géorgiennes
à leurs jfil|es » que-par toute la terre, là blancbeur .de
la peau est plus estimé® que toute autre, même deq
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