TABLEAU G É N É A L O G I Q U E i
des mé l ange s des d iv er s e s races h uma in e s .
P R E M H l R m G E N R A T I O Ü O B S E R V A T I O N S .
Un individu mâle &ù/Individu mâle ou fe-
femclle, de' souche euro-) m elle
péelrne od blanche , en-’Jd^dien îâsiatiquev^. .1
sendrant avec un..........V,Américain originaire/
donne dés
Uù individu nègreavèc ]
Américain caraïbe. i
[Mulâtres.
iMétrsî
JMestices ou Mest-Iri-
diens.
[Zambis pu Lobos, età -
S E C O N § ü G E I i E R A T I O É
Un.Blanc uni A un.,.
Un Nègre avec un ..
Un Caraïbe âve“c un.
rT ercerons ou Morisques.
I Castissés indiens.
Mjxl|jtre..................\
Mestice^ ..........ï , _ _ I QuatralVisCcra Castissés.
Mulâtre....... . ,UrodmSent/GriffesoU CaÜres. '
.....................I eS...........JZambaigis:i<f,
Mesii’ce . j> . .......... I iTrésalvès. <>
M u l â t r e . \ M u l â t r é s f o n c é s 5. <'
T l&o I S I È M E G E N E R AT I O N;
SIM É îrE ET MIXTE.
, vt v< l ^Terceron-........i . . . .
Simple.«! ; n Urf^% ■ (ayec^un...... ..e.n.)l* _C as|ti sse in. dMienÜ.S.. ..... . ,
I Quatraivi américain i
EBSTer^bn
paæec.un.
WïïmSÊÊ
j Mulâtre..
[Un; Mesticéi
avec -un..........J Quarteron.
lUn G r iffe,;.â^ve‘c?b^ Ht i '« ?{r
— , , >Zambi. . . .
produisent
des. . . .
r-Zambaiffi.
»Quarterons ou Alvinos.
Postisses. '
i Octavons.
[Saltatras.
^Coyotes.;
Giveroï.
'Çambujos.
Q U A T R I È M E i;G É N,E R A T I O N.
Une race blanche unie
a nu............‘1A .
Un Mulâtre avec un.
Quarteron...............\ i.Quinjterons.
Octavon caraïbe. . . . f / jPuclÿzelas.
U o y o t e . . . . . . . . . Vforme des \IIarnizos.
AlbaraSsàdo.
JAlbarassados.
Barzïnos.
Ces;! êtres tiennent également
des, deux races pour la
fojme du corps, la figure, la
couleur „le s habitudes, etc.
Les mélanges qu’ils font dans
chacune de leur progéniture
restent semblables ; elles
donnent dès produits qu’on
appelle casques. ,
' -'Dans ‘ces lignées,' une-des
tiges nbadaniefitales n’yiest
plus que, pour un .tiers, et
l’autre'forme lés deux tiers.
Les* caractères que.reçoivent
ces produits varient en
même proportion r que les
races originelles dont ils
émanènt, . . .
La première division né
tient p lus qu’une partie sur
quatre autres. Dans la se-
Ifcbpftë ,. lés proportiSéS varient
; mais où les retrouvera
facilement en remontant a
l'eur.'■ 'origine. 'On ,n’a pas
décrit tous les mélanges qui
peuvent se former ainsi, sôît
qu’ils ‘ n’aient ’■
soit plutôt que les auteurs
ne les aient pas observés.
On conçoit que ces varié-
tés pçuTcnt «e nmltiplier en
progression arithmétique et
se combiner en' un% très—;
grânde quantité de prppor-l
tionè. Chacune d’elles retiendra
plus ou moins' des
.traits de son origine’ , en
aîsôn'*; des * divérs ’ • dégrés
d’sifEnité avec, une tige originelle.
J’ai choisi lès .termes les plus propres à faire distinguer tous ces mélangés de races queues auteurs ont très-
souvent confondus sonsles mêmes dénominations. La plupart de ces expressions sont espagnoles ou portugaises •
Icarc’est sur-tout parmi ce's nations qu’on a remarqué d’abord eps castes, Tw is s , Ulloa et plusieurs autres
'[prétendent que ces mélanges, abandonnés après la troisième génération à leur propre caste, retonrneut’pl’eux-
mêmes , et par des générations nouvelles’, à leur tige originelle. Cette opinion, qui n’est pas prouvée, annon-j
feeroit que les races d’hommes sont de véi'itabîes espèces différente^, etque la nature né transige point constam-
j ment avec nos unions adultères ; mais qq’elle revendiquerez droits jorsque nous cessons de modifier sa puissance: