4 ;Q2 HI itffî P ï RJE uNA T TJ.R E IjU E
population par son produit annuel qui augmente:
;(a ). La mortalité,. plus considérable
dans les années de disette , est o rdinairem en t
la mesure* de Vaisano^eu dë la miser.e dés
peuples Üm e se fait sur-tout sen tir dan s leurs
dernières:classes, qui sept beaucoup plus
prolifiques quefes castes supérieures
igénéral , on compte une . paissance par, 2 5
individus dans nos climats ; cependant, ce
résultat paroît plus foible dans les camT
pagnes.(5)>Lcs contrées îpéridionales doivent
leur grande population à ;la polygamie, qui,
dans l’étatkèivil, ne produiftjéependapL;^
autant qu’on pourroit en attendre, puis^-
qu’elle ^affoiblit l’homme par f’e&cès de. l’amour
y et quelle entraîne
d’è:un«cbisme et l§nutilité^ de plusieurs
femmes dans des barenis trop nombreux.
îi'-pj Bavid. Mittnèi^ssai et dç. moral©.
'jjfotcôI Diés.-sull. propor#.1 f&j pqpgl.
d$Santou£< j • onir1 fif
mortality. Dans Lowthorpe, Philos, transact, abrigf,
t "5 , p. 6693 les^ Institutions politiq. de BielfeVÆ,
t. Ï / ’’ " ' . ; ' , ' y
l:^ M o h èm F l 1. iy p.; i4 4; > Suppléa t. y:,
in-12. \ . .
’(3^ Parëdqiie'hiaiicoup de’fèhimè^ ÿoïit dëttoùé&eî*
dans les villes. Moheau , t. 1, p- Sy*1'
Le nord gjierjr^pfet froid en amour, produit
m dpuziéme (r)j0u un seizième (2) de mâles
plus que de filles ; au lieu que dans, les pays
plus cbauds, et même dans nos villes, celles-
ci deviennent aussi nombreuses (3)y et souvent
meme plus (4)’, parcequeles hommes
sont moins vigoureux, On voit çn effet pres-
qiÿ tqnjqurs que la quantité jdgS -individus
mâles dépénd en général de la force et de
l’ardeur des,p^.rens, selon Bujfon,
oe ne. pense pas que dés différences du
nombre entre i les sekes deviennent suffisantes
pour obliger Tes femmes à prendre
plusieurs maris' (5)y’comme on l’a dit► de
(1) Mém. acad. sc. 17S2 j.èt.acad. sw. wetenslc. t.. 18.
(2) Bujfon, ,t. 7, tab. suppléai. JW^argentin, sWi
wetensk handl.,ti;28. Moheau, L 1, p. 137. .Un quinzième
, selon Siissmilch, Gott. .verordn. m 2 , p. 25o.
(3) Siissmilch, t. 2, p,.257. A>eMa/ra, Physicotheolog.
p. jfftft BèsmatSy Jïist. de Boulogne sur mer, p. 23*
Bür$grdi>iü$i, 'de JÇ^.^âq; 'et ïod.'’Fra^i^fv’ P- i'26.
% üM lDîsCdrâ. déliagëneraz.'' c, '’82/ jS» 91.
(‘4) Bruce, Voyag. t. 1, p. 32Ï , trad. ïr. Kairnès ,
èkédkt. on niânv't. ï , p. 1^8, dit qivâ Batitam il y a
dix ftlles'pduriin h o m me 5’ £#(} ür ri’est pas assez prouve.
Tiré dix Réc, Voyag. compag. des Ind. t. 2, p. 22. 1
■ K jp tift Uoes<try'Gommënt. de hell, gallic.y î'è dit dés
anglais ( Britanni ). 'Stirllw , Gèogr. I. 11 , p. 362y lé
CV'-iv