mingréliennes ï( iJ, des- kacherairiennea (2^
des géorgleïmCs < {3) 'en Asie, et enfin! de
presque toutes les européennes, sur - tout
dans le midi de celle partie du monde., ;
Les femmes turques sont aussi fort jost
lies (4), et les rousses y. sont plus estimées
que les brunes auxquelles. les persans acr
cordent la préférence (5).' On trouve^éncore
de très-belles femmes dans les Indes : telles
(1) Chardin, Perse $ 'Xiôwï. 1600^ fol. part. 1, p. 78
ét suiv. *
- (p.) Bernier-, Voyage au Mégot f Amsterd! |
t. « jj p. 281 ; voyez ajJtssi ie Journal des.savans ,25^ 84)
p. 15p. Il n’e§t per mis ni aux; juifs ; hi aux chrétiens
d’achetey .en .Turquie de toutes: ces belles .femmes ;
elles sont -réservées pour les croyans fidèles à Ma7
îaomet. *».
CfiârÉih /ihid, p. 204-, et édiU tn-4 , t. 1, p. 17 r .
il assure que dans Ce pays f on-iie’^oifpàs uri seul Visâge
laid. Aurelio degli Atizi;, il Genio vagante, t. i rp.. iÿ©!
le dit de même des hommes,-. >
(4) Journal des sa vans, ib. Théventô, y "o y a g e ,t. 1,
p. 55. Bejfôn ? Qbserv. P a r i s i 555 , fol. p. 199. Elles
se peignent les sourcils en noir, et font tomber, ainsi
que les" hommes fé ^ o u du pubis‘dvéô un dépilatoire
d’orpipient et jde chaux > nommé rusjnay ibid. p. 198.
lien est de même des égyptiennes ^ suivant Prosper
Alpin.
(5) Laboullaye le Gouz f Ofis. p. ï î o^
sont
«ont celles de Lalior.(i j et de Bénarès, vers
le Bengalef 2)i Quôiqu’èlles soient fort basa-1-
îné@s-(5| , elles- ont une grande douceur de
visige^q b<eiailèbUpl do vivacité et une belle
taille déliéei Ori recherche encore en Asie les
•femmèâf jaunes de Golconde et deVrsapour,.
45e^'it,éâf?'|)©int Cette pâleür livide et plombée
‘d’t o n i ? eèfctOjoohlfeur ternie) ni ces
..traits fanés • abattusni des yeüx jaunâtres
‘pes regardsdanguissans, éteints-; on biencette
figure malade , inanimée des filles qui ont
les “pâifeS couleurs ; mais o’ést une nymphe
Vive 'e t t'àëmiLlante q tii au voit- une légère
tein te d’ictère y avec Un visage éclatan t de
santés Ct | dès yeux remplis11 du feu de la
Volupté dè
Il ne faut pas cruîrequ’on ne puisse
ItrouVef d'è belles fèMinès stir le continent
brûlé de FÀfriqûë. Les maprqsqtiès peuvent
H (1) Journal dès savans > ibid. ip.| i 58*
O (2S) Elles .sdnd Ids plus lascives dé l ’Inde. Voyage de
'jPyrctrdif p. 553.. Elles-préfèrent lesshommfes. blanc*
d’Etirope .à tousJes« autres indiens i ibid. part. 2,f t. 2 ,
p. 165- ;
Tàvêrhiér $ Voyagent. 3 * p. ,8o > toutes les
femmes du Mogol n’ont naturellement .point de’poil ep
aucune partie du èdïpsj. et les* 'hommes n’ont que peu
dé barbe.
T o m e I. X