ü o Histo ir e h a tu r e Iale
ses arines, des pierres e* dèé batons , am a
antiqua manus , I ungues\ demesne fuenmtg
Lucret, m m i m II trouvé ses ressources
dans sa vigueur , dans son adresse et ses
propres forces développées par l’usage continuel
(à) qu’il en fait. Omnivore par conformation
( 3 1;, nomade et chasseur par
instinct, ne*dédaignant aucun aliment, racines
, fruits , insectes , coquillages^, il né
pense qu’à sa: conservation-individuelle y il
pe travaille que pour sa nqurriturej et passé
le reste de*sa vie dans le sommeil et le tepoâ.
SS j idéW'Sontatîssi bbrnëesf quë SOU langage;
des cris inarticulés' et des/geifes
Expressifs/sént ses ^euls' mçyenj de .communication*
Lorsque, la Rature j ’appelle a * 1 2 4
Sumatr. t. l.K k o t, Céyïati/tràd. fA i. I. m od or.Siç.
Amen
•Volùs. .. tfjm mmm$ Jtt 3fî"M;- fj
(1) DiodoKl. ï ; p. 28. Cédrèrtus, p, gjÉ îïygMiL
Ùib. ®1 • l • ; , , - ' ^ 9
(2) Hieroti. m reuriàh de n. Vèhet iM ,
in-4 , edit. 2.
„ (5j m ilW ; Êleih. püÿèrbf:: 1 ’-XlX., ' 'geét J' *pÀ ï8g.
Aussi le Ponge, selon Afysdiéf giiiit. p. 5o.
(4) D’après lésvéofisrches^Sïàî roi ttero-*
dot. \> m pudW a^ % È u îd a t;
Lexicon. p. 428«
DU UENUÈ HÜMAitf. 111
la reproduction, il cherche une compagne
momentanée, et voilà sës besoins satisfaits.
v * ■ ■ '
Il paroit, d’après le nombre des ttaièsances
Constamment plus considérables èu hy-
ver (1), que Fhorùme doit avoir, ainsi que
les animaux, un teins plus propre à la reproduction
5 et ce qui doit être l’aimable saison
du prmtems. Dans l’état social, une nourriture
abondante, et le rapprochement continuel
des deux sexes , renouvelle sans
interruption le désir invincible de la propagation.
On donne aussi cette faculté aux
animaux | tel que le chien , lé cheVal, etc.
en les rendant domestiqués, et ën leur faisant
partager les bienfaits de là société.
La Nature n’a mis aucune inégalité morale
entre les espèces d’animaux et leurs individus.
Aucun d’eux n’a de pouvoir ■ sur
l’autre S excepté celui tjue- donne la force ,
l’adresse et l’âge, ce qui établit seulement
(S) Stèm7 »Câus. %‘térllit. p. 5& ffràrgentin, svf. W e-
tensk. acad. t. X V I , en 1754, et t. X V I I I , en 1767;
net. Helvetic.-1. V I . Bujjfbn, Suppl, t, I I , in*4i Aussi
R ab elais, Pantagtu 1. V > c, 2 g , etc. I