^HISTOIRE NATURELLE
de Gmelin ) , est mieux connu que le précis
clent, et décrit par les anciens avec «xacti-^
tude (1); on l’a presque toujours confondu
avec le véritable orang - outang ; mais il
s’éloigne davantage 5 par ses formes, de
l ’espèce humaine * sa face est plus ignoble 7
sa démarche plus stupide j il est pour l’orang-
outang, ce que le nègre est pour l’européen.
‘Habitant, ainsi que le iîègre, deSnontrées
les plus brûlantes de l’Afrique ,'a la coté
d’Angole et dans l’ancienne Troglodytie, il
fut le sujet de toutes les fables qu’on a répandues
sur l’homme -'primitif; ■ \ Malien, qui
P en n an t, Synops. quâdr. p. 96 , n°. 64. Erxleben ,
Mainmaî. p. 6. ScJirebeç, Saeugth. t. i , p< 5$-, tab, 2,
JBuffon, t. 14. Linné j System, nàt. edit. 12 ,:t. 1 ^
p. 54. Les anciens l’ont connu. Voyez Lichtenstein-,
Comment j de simiis veter, p.'75. — L e sphigx P Aga~
tharchide, de mari rubr. c. 58 , apud PK otii, Biblioth.
p . . 1562’. ^ à trà& è '., (ïeogL 1. 16. JDiodor. Sic. bibl.
1.5 , & 35*. PMtwïf. Hist* riât. 1. 6 , C. 29, 1. 8 , c. 2 1 ,
I. 10 | ç. 73É Sotin, JPoïyhist. c. üjj. 1 Vdyêz: aussi sur les
femmes sauvages prises par Hannon, sonPeripl. dans
acad. inscript, t.: 26, par Bougain vill^ etc.
(1) Galenas, Administrât, anat. 1. 6 , ç l i . Peut-être
est-ce l’oegipan. de P lin e , 1. 5 ? c. 1 *, et 1. 6 , c. 5 a.
Æ lian , de animal. 1. 16, tc>- x.5 ,, eXe,. Hérodote les ap^
pelle hommes et femmes sauvages a lv 4*
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