taie?, les, spéculations commerçantes et leé
fondemens des liens politiques (1), recommandent
assez les recherches sur la nature
humaine, dans les divers climats de la terre,
dans ses besoins et sesüioears ; son industrie
et ses connaissances; ses variétés et ses rapports;
son caractère et ses usages; sa puissance
ou sa foiblesse, etc.
De quelle obligation 11’est pas cette étude
pour le perfectionnement de toutes nos connoissances
physiques ^ ’agrandissement de la
puissance ded’hommè, de ses fonctions, de
ses droits, de scm bonheur, et pour la médecine,
si&-tout de sa partie: hygénique, s i
nécessaire et si importante pour la santé :
enfin pour agrandir le domaine de notre
thérapeutique, et completter l’histoire des
différentes affections morbifiques qui attaquent
l’homme de tant de manières , qui le
modifient si diversement sous les pôles glacé»
Voyez les Tteclierolic» d o pliilosüplif» et des
w S & m H W to PoUtic- L * it
Cive part. I , e. a ^ t f a . Leyiatliam c.
de Inr. nat. art. i. TVardurion,Idi. Qtdtuu ,db Jur,
0. 1. J.-T. R oui*
4ea.11. îiftsc. soi itiigal. part. I. Traite de la
riehess« des liât. 1. X; etc.
e\ dans les contrées brûlantes de la zone
équatoriale .1 Combien d’autres observations
utiles et philosophiques je passe ici sous silence,
et doivent être suivies, pour écarter
le voile de l’erreur, et éclairer les.routes ténébreuses
des préjugés 1
On ne peut douter que l’histoire de la
nature de l’homrne n’ait éprouvé des chan-
gemens, reçu des éclaircisse mens et de nour»
velles connoissances, pendant la fin de ce
siècle illustré par tant de découvertes dans
tous les genres, et qu’elle n’âit besoin d’être
encore traitée et refondue. Pour ne pas .s’égarer
au milieu de l’océan des hypothèses .et
des systèmes, suivons la roqte de l’observa-”
lion physique >et de l’expérience, et 11’adr-
mettons que les faits. Quand on étudié la
la nature, c’est la vérité qui doit diriger notre
marche, c’est la raison qui doit l’éclairer de
son flambeau.
L ’immensité .des recherches importantes^
qu’exige notre histoire physique,? en canr-
sultant les naturalistes, les physiologistes«,
les médecins ; les historiens, les voyageurs,
'les antiquaires, les gé6grâj>ïiçV,'.lè’s/jphiîo-
losophes , les politiques., les littérateurs
même, etc. ep. exposent assez la grand«,
difficulté». Cependant, tracée* .Avec tant,